• LORSQUE TU ES DANS LA PEINE…

     

    1 ) Lorsque tu es dans la peine, que dans ton cœur il fait noir,

    Que ton âme est dans les chaînes, les chaînes du désespoir,

    Que tu cries dans la nuit, que tu cognes sur les murs ..

    Refrain :

    Il y a quelqu’un qui entend ta voix,

    Il y a quelqu’un qui te tends les bras,

    Quelqu’un qui t’aime et connaît tes pourquoi,

    Qui te comprend et se tient près de toi.

     

    2 ) Quand tu frappes chez des amis, à midi ou à minuit,

    Tu comptes sur leur soutien car tu crois qu’ils t’aiment bien ;

    Mais leurs portes sont fermées, en vain tu as appelé !

    Refrain:

    Il y a quelqu’un qui entend ta voix,

    Il y a quelqu’un qui te tends les bras,

    Quelqu’un qui t’aime et connaît tes pourquoi,

    Qui te comprend et se tient près de toi.

     

    3 ) Il a porté tes blessures, ton fardeau, tes meurtrissures,

    Lui aussi fut rejeté et sur une croix, cloué,

    Pour qu’un jour, tu puisses dire, j’ai trouvé la joie de vivre !

    Refrain :

    Va vers Jésus qui entend ta voix,

    Va vers Jésus qui te tend les bras,

    Va, car Il t’aime et connaît tes pourquoi.

    Il te comprend et se tient près de toi.

                                                                          

     Jean-Marc AUSSET         Nantes 1979

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  •   SUR  LES  CHEMINS  DE  LA  VIE :

     

    1° couplet :

    Sur les chemins de la vie

    Qui s’ouvrent devant mes pas,

    J’ai besoin d’un sûr ami

    Qui ne m’abandonne pas .

    Refrain :

    Avec Jésus, pas de doute,

    Il sera toujours sur ma route,

    Sur Lui je pourrai compter

    Jusque dans l’éternité ( ter )

     

    2° couplet :

    A Jérusalem, Il mourut

    Sur la croix, au mont Golgotha.

    A ma place Il fut cloué

    Pour que je vive à jamais.

     

    Refrain :

     

    3° couplet :

    Désormais, je le chanterai,

    Je proclamerai ses bienfaits,

    Car Jésus-Christ est mon Sauveur,

    En Lui j’ai trouvé le bonheur.

     

    Refrain :

    Avec Jésus, pas de doute.

    Il sera toujours sur ma route,

    Sur Lui je pourrai compter

    Jusque dans l’éternité.

     

     Jean-Marc AUSSET               1980

     

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  • AU JARDIN DE L’HUMANITE :

     

    1) Au jardin de l'humanité

    Les fleurs du mal ont poussé,

    Dans un sol noir, elles ont germé,

    semées par un faux jardinier.

    Refrain 1 :

    Non , n'allez pas cueillir ces fleurs,

    Ne respirez pas leur odeur,

    Ne regardez pas leurs couleurs,

    Elles distillent le malheur !

     

    2) Au jardin de l’humanité 

    Croissent des fleurs empoisonnées, 

    Fleurs de passion et fleurs de mort 

    Fleurs artifice, fleurs décor. 

    Refrain 1 :

    N’allez donc pas cueillir ces fleurs,

    Ne respirez pas leurs odeurs, 

    Ne regardez pas leurs couleurs, 

    Elles distillent le malheur. 

     

    3) Aux collines de Galilée, 

    Une fleur a tout embaumé. 

    Parfum d’amour, de pureté, 

    Semée par le grand jardinier. 

    Refrain 2 :

    Venez tous cueillir cette fleur

    Accrochez-la sur votre coeur.

    Imprégnez-vous de son odeur,

    Car c'est la fleur du bonheur!

     

    4) Au jardin des Oliviers, 

    Cette fleur fut foulée aux pieds, 

    Ses pétales furent froissés, 

    Son dernier parfum exhalé. 

    Refrain 2 :

     

    5 ) Au jardin de l’humanité 

    Le mal n’a pas pu l’étouffer. 

    La fleur d’amour a repoussé 

    Au printemps de l’éternité. 

    Refrain 2 :

    Venez tous cueillir cette fleur ! 

    Accrochez-la sur votre cœur ! 

    Imprégnez-vous de  son odeur 

    Car, c’est la fleur du bonheur . 

     

    Jean-Marc AUSSET 1980

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  • TRAJECTOIRE  DE  VIE  …

     

    1)  Dans ma misère, j’errais sur cette terre 

         Cherchant partout le bonheur comme un fou :

         Dans la peinture, le sport et la voiture ,

         J’essayais de trouver un peu de liberté .

    Ref :   Je m’suis donné à fond,

               Livré à corps perdu,

               Pour trouver le bonheur

               J’y ai mis tout mon cœur !

     

    2)  Avec ma voiture, j’partais à l’aventure,

         Cherchant dans la vitesse à cacher ma faiblesse ;

         J’écoutais d’la musique, celle qui rend hystérique,

         Croyant trouver la clé de ce bonheur caché .

    Ref :   Je m’suis donné à fond,

               Livré à corps perdu,

               Pour trouver le bonheur

               J’y ai mis tout mon cœur 

     

    3)  Un jour, j’ai rencontré un homme qu’avait tout fait

         Qui me dit : mon garçon, dans la vie, y’a du bon.

         Quel que soit le moyen, qu’il soit mal, qu’il soit bien,

         Fais tout pour t’en saisir, le bonheur, c’est jouir !

    Ref :  Je m’suis donné à fond,

               Livré à corps perdu,

               Pour trouver le bonheur

               J’y ai mis tout mon cœur 

     

    4)  Alors, j’ai tout laissé, les objets de mon passé,

         le sport et la musique, l’auto , la politique ;

         N’ayant pu y trouver rien qui puisse étancher

         Ma soif de vrai bonheur, j’m’en vais chercher ailleurs !

    Ref :  Je m’suis donné à fond,

               Livré à corps perdu,

               Pour trouver le bonheur

               J’y ai mis tout mon cœur .

     

    5)  Ailleurs, c’était pareil, les filles, la bouteille !

         Les films pornographiques, la drogue et puis les flics !

         J’étais si jeune pourtant, j’avais tout essayé,

         Mordant à pleines dents ce bonheur qui fuyait !

    Ref :  Mais, j’ai touché le fond,

            Et puis, j’ai tout perdu ,

           Mes amis, ma santé, ma joie : je me sens nu !

     

    6)  Ecoeuré par moi-même, par les autres aussi,

         Puis, par tout ce système qui n’est qu’hypocrisie,

         L’idée me vint alors qu’il fallait que j’arrête

         Cette vie de détresse ici-bas par la mort .

    Ref :  Mais, mon cœur a crié, 

             Ô Dieu, si tu es là,

             Avant de tout quitter,

             Révèle-toi à moi !

     

    7)  Soudain une parole, lue dans un très vieux livre

         jaillit dans mon esprit, illuminant mon cœur,

         «  car Dieu t’a tant aimé qu’il a donné son Fils,

         Afin que par sa mort, tu puisses être sauvé « !

    Ref :  Sauvé, je suis sauvé !

             Jésus-Christ est la vie !

             La mort a son vainqueur !

             J’ai trouvé le bonheur !

     

    JM Ausset 1973 . Chant  non autobiographique mais inspiré par des fais réels.

     

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  •    L'INCARNATION DU FILS DE DIEU :El Greco

     

    En ce début d'année 2011, il était opportun de rappeler l'importance du fait de l'incarnation de Dieu en la personne de Jésus-Christ, et de ses prolongements dans la vie de ses rachetés .

    L'évangéliste Jean, ami intime de Jésus-Christ , le Fils de Dieu , a pu contempler au quotidien les vertus divines exprimées par son Maître à un degré jamais atteint, celui de la perfection.

    Poussé par le Saint-Esprit , conforté par ce qu'il a découvert et émerveillé de la véritable nature de Jésus-Christ, il laissera à la postérité ce témoignage sublime qu'aucun homme n'aurait pu susciter à moins d'être l'incarnation de Dieu , dans le prologue de son évangile  ( Jean chapitre 1 v 1 à 5) :

    " au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle. En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont point reçue."

    Qu'il est grand ce mystère de l'incarnation et combien il dépasse en générosité ce que l'esprit humain le plus hardi et le plus consacré à ses semblables aurait pu oser imaginer ou concevoir !

     Il eut fallu pour ce faire qu'il possédât naturellement un amour sans limite qui l'aurait rendu capable d'envisager une telle perspective , ce que sa nature obscurcie par le péché l'empêchait de concevoir.

    L'incarnation de Dieu en Jésus-Christ est cet acte inouï par lequel le grand Dieu, créateur des cieux et de la terre et de tout ce qui l'habite, de ce Dieu qui est Esprit et Vie, vient côtoyer ses créatures au travers d'un abaissement époustouflant , pour leur rappeler qu'Il est leur Père céleste et qu'Il désire, plus que tout, rétablir une relation d'amour et de confiance leur ouvrant la voie du pardon , du salut et de la vie éternelle .

    L'incarnation de Dieu en son Fils Jésus-Christ est donc l'expression suprême d'un amour qui manifestera sa véritable dimension dans la crucifixion du Fils sur la croix de Golgotha , en offrande sacrificielle pour le salut de quiconque croit. C'est à ce moment là que se conjuguent , dans une communion sans égale entre le Père et le Fils, les plus grandes souffrances , fruits du plus grand amour.

    Mais, l'incarnation du Fils de Dieu, c'est aussi, cet immense miracle de sa résurrection qui signe de façon magistrale le pardon divin et la perspective de la vie éternelle, offerte à toute âme qui accepte par la foi d'en être bénéficiaire , pourvu qu'elle se reconnaisse pécheresse dans un acte sincère de repentance.

    Enfin, l'incarnation de Jésus-Christ ,  c'est aussi , pour le croyant, la réception dans son coeur, de l'Esprit de Dieu, de l'Esprit de Christ , de cet Esprit de vie et d'amour dont il devra désormais incarner les vertus. Certes, il n'atteindra la perfection manifestée par son Maître que le jour de sa propre résurrection, mais, cependant, chaque jour de sa vie sera autant d'occasions de les voir se développer en lui par une vie consacrée.

    Dès lors, sommes-nous appelés , au cours de cette année 2011 à suivre l'exemple de celui qui est " la Parole incarnée" et "la lumière des hommes".

    Soyons donc des lumières dans notre monde de ténèbres !

    Que le Seigneur nous sanctifie ! 

    Jean-Marc Ausset , le 3 janvier 2011

     

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  •                  PEUR SUR LA CITE :

     

    Comme peaux de tambours battues par la tempête,

    Vibrant des mille coups de baguettes de pluie,

    Les toitures résonnent en pleurant sur nos têtes

    Laissant couler des larmes de tristesse et d’ennui.

     

    Pareil au dais funèbre étendu sur Sommières

    Le ciel noir et épais a voilé le soleil,

    Comme sous un linceul déposé sur la pierre,

    La cité a perdu l’éclat de ses merveilles.

     

    Tel un prince étranger aux misères du peuple

    Attirant sur ses flots le regard des manants,

    Effrayant et grandiose, le Vidourle s’étend,

    Elargissant son lit jusqu’au pied des immeubles.

     

    L’angoisse étreint les uns, l’espoir nourrit les autres,

    Les vieux aux yeux mouillés des pertes advenues,

    Racontent en détails les invasions vécues

    Comme autant de combats dont ils seraient apôtres.

     

     

                 Jean-Marc AUSSET, Sommières 1986 à la veille d'une vidourlade ( inondation )

     

     

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  •                AU  FIL  DU  PINCEAU ….

     

    L’ âme se voile et se dévoile ,

    S’exprime et se réprime,

    Se cache derrière une ombre ou

    S’expose dans un rai de lumière .

     

    Tour à tour expression ou impression ,

    Elle emprunte les chemins du réel ou de l’imaginaire.

     

    Monochrome ou polychrome ,

    En noir et blanc ou en couleurs ,

    Elle joue avec les formes au gré de ses humeurs ,

    Au fil de son pinceau…

     

    Beauté subtile d’un art où se répondent et s’interpellent

    Dans une partie sans fin de cache-cache ,

    L’inconscient  et le conscient ,

    L’objectif et le subjectif ,

    Le réel et l'imaginaire.

     

                                                                                      JM  AUSSET , le  21 mars 2009

                   

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  • ATMOSPHERE:

     

    Stylos glissant des doigts humides et fébriles

    S’accrochant au papier où se collent les mots,

    Fronts tendus reluisant de gouttes de sueur

    Comme d’autant d’idées que le cerveau transpire,

    Pareils aux chercheurs d’or que la fièvre a gagné,

    Mot à mot, ils extraient du sol de leur mémoire

    Les pierres du savoir , gages de réussite .

     

    Collège de Sommières, juin 1984, surveillance du BEPC

    Préfabriqué surchauffé : 35 ° ! Impressions.

    Jean-Marc AUSSET

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  •   QUELQUES PENSEES  A MEDITER SUR LE MARIAGE

                    Ou comment réussir sa vie à deux

    S’engager dans une vie de couple n’est pas l’affaire d’un instant mais celle de toute une vie.

    De fait, le mariage n’engage pas seulement deux êtres mais il concerne aussi leurs enfants qui, d’une certaine manière, viendront sceller leur union et concrétiser leur amour.

    C’est dire combien il est important d’établir des fondements solides à la construction d’un édifice au sein duquel chacun devra pouvoir évoluer sans craindre qu’il ne s’effondre au moindre coup de vent, et dont l’atmosphère lui permettra de s’épanouir dans la paix, la joie, l’harmonie et l’amour.

    Ceci nous renvoie à cette parole de Jésus-Christ, empreinte de sagesse, rapportée par l’évangéliste Luc au chapitre 14 et au verset 28 :

    « Lequel de vous, s’il veut bâtir une tour, ne s’assied d’abord pour calculer la dépense et voir s’il a de quoi la terminer, de peur qu’après avoir posé les fondements, il ne puisse l’achever ? »

    Il peut sembler étrange, voire incongru, voire même déplacé de parler de dépense à calculer alors que les regards complices et amoureux semblent éclairer le présent et l’avenir d’une lumière riche de promesses de bonheur et d’optimisme.

    Et cependant, force nous est de constater que la réalité est bien là pour confirmer les paroles que nous venons de lire !

    Faute d’avoir mesuré le prix à payer pour la construction de leur foyer, nombreux sont ceux qui ne l’ont pas mené à leur terme et ont vu s’écrouler tous leurs espoirs.

    Calculer la dépense, c’est prendre conscience que le prix à payer ne se mesure pas en terme d’argent, mais en terme d’amour et de don de soi jour après jour, année après année.

    Le philosophe Sénèque disait avec raison : « si tu veux être aimé, aime ! »

    En disant cela, il rappelait une grande vérité selon laquelle, si la haine engendre la haine, l’amour engendre l’amour.

    Mais, ce serait une erreur de croire que l’amour n’est qu’affaire de sentiments. Rien n’est plus versatile, plus volatile que les sentiments. Les sentiments fluctuent au gré de nos ressentis, de nos émotions, du regard de l’autre, des apparences, des circonstances. Rien n’est plus subjectif et infidèle que les sentiments.

    L’écrivaine canadienne Laure Conan disait à juste titre : « aimer une personne pour son apparence, c’est comme aimer un livre pour sa reliure. »

    Malheureusement, nombre d’unions résultent d’une perception superficielle de l’autre et ne résistent pas à l’usure du temps et aux agressions de la vie qui révèlent alors le fond de l’être. Or, et nous ne devons pas nous le cacher, nous ressentons tous au fond de nous, parfois douloureusement, les revendications insistantes de notre Moi qui refuse de s’incliner face aux désirs souvent légitimes de l’autre que nous prétendons aimer et auquel nous avons juré fidélité.

    Les principaux ennemis de l’harmonie dans le couple sont nichés au fond du cœur de chacun et porte les noms «  d’orgueil et d’égoïsme. » C’est ce couple infernal qui brise les espoirs les plus prometteurs !  C’est alors que les regards langoureux se muent en regards de haine!

    L’écrivain-aviateur Saint-Exupéry avait cette formule pleine de bon sens et issue de son expérience personnelle :

    « aimer, ce n’est pas se regarder l’un l’autre, c’est regarder dans la même direction. »

    Evitant ainsi les dangers du face à face, Saint-Exupéry avait compris que le couple est comme un tandem dont les efforts conjoints, les projets de vie sont orientés vers un objectif commun . Cette union des moyens, vers une fin commune, constituait donc pour lui une force et une garantie pour l’avenir.

    L’intention est bonne et la démarche est saine mais l’écrivain a oublié une chose, c’est de définir la direction.

    En effet, la pérennité du couple, sa longévité ne seront assurées qu’à proportion de celle de l’objet ou de l’objectif visé ou poursuivi.                                                                                                                        Malheureusement, force nous est de constater qu’aucun objet ici-bas n’offre de telles garanties.

     Ici-bas, tout paraît et tout passe !

    N’y aurait-il donc aucune échappatoire à ce cercle vicieux qui enferme l’homme dans le cadre fragile de l’incertitude, de la fragilité, du subjectif, de l’éphémère, autrement dit, de celui de la désillusion, des déchirements et des souffrances ?

    N’existe-t-il pas une direction vers laquelle nous puissions orienter nos regards et qui nous découvrirait de nouveaux horizons exempts d’incertitudes pour le lendemain et à l’abri de toute corruption , quelque chose de solide et de pérenne ?

    L’histoire des hommes montre et démontre , au travers de ses tentatives religieuses, la permanence d’une quête orientée vers la transcendance, vers un principe créateur, vers la divinité, que lui inspirent, non seulement la contemplation de la création dans sa majesté et son immensité céleste mais aussi le sentiment intérieur de la notion d’éternité.

    La Bible se fait l’écho de cette réalité par les paroles du sage, l’Ecclésiaste qui s’exprime en ces termes : ( Ecclésiaste 3 v 11 )

    « Dieu a mis dans le cœur de l’homme la pensée de l’éternité. »

    Cette notion d’éternité est en parfaite harmonie avec la nature de cet être incréé, auquel les Saintes Ecritures donnent le nom de Dieu, créateur des cieux et de la terre. Plus encore, à travers elles, ce grand Dieu se définit comme éternel, tout-puissant, omniscient, juste et miséricordieux. Mieux encore, Il se révèle comme étant un Dieu d’amour, source de toute vraie vie, un Dieu qui parle au cœur de ses créatures, un Dieu qui répond à celles et ceux qui en appellent à Lui.

    Or, précisément, nous ne pouvons qu’être interpellés par le terme qui définit le mieux le Dieu de la Bible, hormis celui de sa sainteté qui le désigne comme le TOUT AUTRE, à savoir le mot AMOUR. En effet, le terme grec « agapè » traduit par « amour » l ne désigne pas un sentiment sujet à fluctuations mais une attitude de coeur, un état, une nature, qui est l’essence même de la vie divine que Dieu veut partager avec ses créatures.

    L’amour de Dieu, l’agapè nous est présenté par l’apôtre Paul ( 1 Corinthiens 13 ) comme le sommet des exigences morales auxquelles chaque homme aspire confusément.

    Lequel d’entre nous, en effet, se réjouit de la méchanceté, de l’égoïsme, de l’hypocrisie, de la violence, des conflits ou des guerres ?

    Le philosophe Jean-Paul Sartre ne disait-il pas : » l’enfer, c’est les autres « ?  Il eut été plus juste de dire que nous portons chacun l’enfer en nous-mêmes !

    Lequel d’entre-nous n’aspire-t-il pas, au contraire, à être un ferment de paix, de bonté, de tendresse, de droiture, de justice en un mot «  d’amour ».

    Il ne fait pas de doute que si nous pouvions avoir accès à la source d’un tel amour qui donne et qui pardonne, qui ne tient pas le compte du mal, qui recherche la justice et la vérité, alors, notre vie en serait bouleversée et, non seulement la nôtre mais aussi celle de notre couple et celle de notre famille.

    Et c’est ici que nous est faite l’offre la plus révolutionnaire que l’on puisse imaginer, celle de pouvoir recevoir gratuitement cet amour-agapè qui peut changer radicalement les perspectives de notre vie !

    Cette offre gratuite, imméritée, nous est faite par Jésus-Christ, le fils de Dieu, Dieu incarné, Parole de Dieu faite chair, venu parmi les hommes pour leur rappeler l’existence de leur créateur et leur dire qu’Il les aime comme un père aime ses enfants.

    La Bible dit que « Dieu a tellement aimé le monde qu’Il a donné son fils Jésus-Christ, afin que quiconque croit, ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. » ( Evangile de Jean ch 3 v 16.)

    L’apôtre Paul, écrivant aux chrétiens de Rome, reprend ce même thème ( Romains 5 v8 ) :

    « Mais, Dieu prouve son amour envers nous, en ce que lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.

    Nous étions des pécheurs c’est-à-dire dans une attitude de rébellion, de rejet, de déni de l’existence même de notre créateur. Nous étions des ennemis de Dieu , vivant sans autre ligne de conduite que celle que nous dictaient nos penchants naturels dont nous avons pu juger des inconséquences.

    En mourant sur la croix du Calvaire, Jésus-Christ, payant alors, par le don de sa vie, le prix de notre réconciliation avec Dieu, nous offre l’opportunité inespérée de recevoir, non seulement le pardon divin mais de surcroît de recevoir dans notre cœur , par la venue de son Esprit , cet amour éternel , cet agapè divin qui fait de chacun de nous une créature nouvelle capable d’aimer comme Dieu nous aime.

    Un tel miracle est à la portée de tous et de chacun et il porte le nom de « nouvelle naissance ».

    Cette opération spirituelle fut annoncée par les prophètes dans l’Ancien Testament et notamment par le prophète Joël dont l’apôtre Pierre reprit les termes le jour de la Pentecôte pour expliquer les manifestations qui suivirent la première venue du Saint-Esprit sur les croyants de Jérusalem :

    Actes 2 v 17 : « dans les derniers jours, dit Dieu, je répandrai mon esprit sur toute chair…..alors quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. »

    Cette nouvelle naissance est l’accomplissement de la promesse de Dieu faite au prophète Ezéchiel  ( ch 36 v 26 ) dont les termes sont évocateurs :

    «  Je répandrai sur vous une eau pure, et vous serez purifiés… je vous donnerai un cœur nouveau, et je mettrai en vous un esprit nouveau ; j’ôterai de votre corps le cœur de pierre, et je vous donnerai un cœur de chair. Je mettrai mon esprit en vous et je ferai que vous suiviez mes ordonnances. »

     

    C’est de ce changement radical que Jésus parle lorsqu’Il dit à Nicodème, un des chefs de la synagogue venu l’interroger : ( Jean 2 v3 …)

    «  En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu…..si un homme ne naît d’eau ( symbole de purification) et d’Esprit (symbole de régénération ) il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, ce qui est né de l’Esprit est esprit. »

    Vous l’avez compris, le seul amour qui soit à même de souder un couple de façon durable ne peut être que celui que Dieu lui-même met dans les cœurs.

    Cet agapè divin est offert à tous ceux qui le Lui demande avec simplicité et humilité .

    Regarder dans la même direction , tel que nous le suggérait Saint-Exupéry, est une bonne chose, mais regarder vers Jésus-Christ , le ressuscité, l’auteur de notre salut éternel, est une chose excellente et vitale.

    Souvenons-nous de ses paroles et approprions-nous les car elles sont Esprit et Vie :

    «  Je suis le chemin, la vérité et la vie « ( Jean 14 v6 )

    «  Je suis la lumière du monde, celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres mais il aura la lumière de la vie «  ( Jean 8 v 12 )

    « Je suis la résurrection et la vie, celui qui croit en moi vivra quand même il serait mort ; et quiconque croit en moi ne mourra jamais , crois-tu cela ? « ( Jean 11 v 25 )

    Cette question posée par Jésus à Marthe qui pleurait la mort de Lazare, son frère, est toujours d’actualité car c’est la question centrale à laquelle nous sommes tous appelés à répondre. Tout atermoiement nous prive, dans l’immédiat de la joie du salut et du bonheur de la communion rénovée avec Dieu notre Père céleste, nous maintient dans la prison de nos incertitudes et de nos faiblesses et, pour l’avenir nous tient dangereusement à l’écart de la vraie vie qui est éternelle comme l’amour divin seul, peut l’être.

    Un dernier mot pour conclure ces quelques réflexions sur les conditions d’un mariage réussi :

    «  La corde à trois fils ne se rompt pas facilement.. » 

     Cette formule empruntée à l’Ecclésiaste résume bien tout ce qui a été dit.

     Pour rester solide, les deux brins formés par le couple devront être épissés avec le brin divin qui le reliera à la source de l’amour et de l’harmonie.                                                                                                                                                                                            

                                                                                                       

        Jean-Marc AUSSET , Saturargues , le 16 juin 2009                  

     

     

     

     

     

     

     

     

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  •         SIMPLES PAROLES D’HOMME ?  à vous de juger !

     

              Nombreux sont les hommes dont le nom est resté gravé dans le annales de l’humanité soit en raison des vertus de leur vie, soit de la bassesse de leurs actes : hommes d’Etat, poètes, militaires, politiciens, écrivains, musiciens ou philosophes qui ont laissé des traces de leur passage ici-bas, mais que le temps a érodé ou recouvert du limon de l’oubli.

             Seuls témoins de leur notoriété passée, quelques-unes de leurs paroles rendues célèbres leur subsistent encore par la symbolique qu’elles véhiculent.

    - C’est le « tu quoque, mi fili » toi aussi, mon fils , qui exprime toute la douleur de César lorsqu’il aperçoit au nombre de ses assassins , Brutus, son fils adoptif.

    - C’est le « euréka » d’Archimède qui exprime sa joie lorsqu’il découvre, soudain, dans son bain , la loi de la poussée éponyme , sur les corps plongés dans l’eau.

    - C’est le cri d’orgueil de César : « veni, vidi, vici » , je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu , qu’il adresse au Sénat pour dire la rapidité de sa victoire sur Pharnace, le roi du Pont.

    - C’est cette parole présomptueuse du poète latin Horace qui dit au 1° siècle de notre ère : « je ne mourrai pas tout entier car mon œuvre me survivra ».

    - C’est le cri d’amertume de Cicéron qui s’élève contre la perversité des hommes de son temps : «  o tempora, o mores, » o, temps, o, mœurs !

    - C’est ce cri de fol orgueil que jette à la face du monde, Néron, au moment où il va être égorgé : « qualix artifex pereo ! » quel grand artiste périt avec moi 

    La liste serait longue de tous ceux dont les paroles ont eu, en leur temps, leur place dans le langage courant !

    Mais, qu’en est-il aujourd’hui des «  alea, jacta est » , le sort en est jeté , prononcé par César devant le Rubicon, ou des «  j’y suis, j’y reste » de Mac Mahon ?

    Des mots, rien que des mots dont seuls les dictionnaires spécialisés portent la trace !

    Et que dire de ceux qui les ont prononcés ?!

    Qui donc se souvient de César, d’Archimède,d’Horace , de Néron ou de Cicéron , sinon une poignée d’étudiants, de professeurs de lettres classiques de préférence ou d’histoire , pour lesquels ils constituent un passage obligé ?

    Quel impact, ces grands hommes, ont-ils dans le quotidien de nos contemporains ?

    Mais voici que, défiant les outrages du temps et les contingences de l’espace, se fait entendre une déclaration inouïe :    « les cieux et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas ! » (Evangile de Matthieu ch24v35).

    Qui donc a osé prononcer de telles paroles qui défient la raison humaine ?

     C’est celui-là même qui, à Jérusalem, lors de son interrogatoire par le souverain sacrificateur, chef des autorités religieuses juives qui lui demandait : « je t’adjure par le Dieu vivant de nous dire si tu es le Christ, le Fils de Dieu ! » répondit : « tu l’as dit ! ».

    Une telle affirmation qui ne pouvait conduire son locuteur qu’à une condamnation certaine, porte en elle le sceau de la vérité et de la sincérité .

    C’est ce Jésus, le Christ, le Fils de Dieu, dont la mémoire n’a été effacée ni par le temps ni par les calomnies que je vous invite à rencontrer et à découvrir au travers de ces quelques lignes.

    Sa résurrection, qui est l’évènement le plus marquant et le plus glorieux de toute l’histoire humaine, marque du sceau de la vérité et de l’authenticité l’ensemble de ses paroles et de ses discours .

    Son message d’amour a bouleversé des vies, transformé et transcendé des existences chétives et, aujourd’hui encore, il poursuit partout sur cette terre son œuvre de salut .

    Ni empereur, ni général, ni philosophe, ni mathématicien mais simple fils de charpentier de la bourgade de Nazareth, son nom brille encore en lettres de feu car, Jésus-Christ, est aussi le Fils de Dieu !

     «  Jamais homme n’a parlé comme cet homme ! » ( Evangile de Jean ch7v46) ainsi s’exprimèrent les huissiers devant les sacrificateurs, témoins directs de sa crucifixion .

    Mais, quelles furent donc ces paroles qui suscitèrent telle appréciation ?

    Ecoutez seulement celui qui les a prononcées et jugez-en vous-mêmes !

    Evangile de Jean ch 14 v 6 :

        «  Je suis le chemin, la vérité, la vie. Nul ne vient au Père que par moi ! » ( le Père désigne ici Dieu )

    Evangile de Jean ch 11 v 25 :

            « Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ! »

    Ces paroles portent en elles un ferment de révolution tant elles bouleversent nos critères de jugements et nos schémas de pensées ! Mais, il s’agit ici d’une révolution spirituelle dont le concept est étranger à nos modes traditionnels de classification des phénomènes psychologiques et physiques.

    Et, cependant, force nous est de constater qu’il s’agit aussi d’une réalité dont peuvent témoigner tous ceux et toutes celles qui en ont fait l’expérience au cours des âges et qui peuvent décrire les changements intérieurs qu’ils ont vécus lorsqu’ils ont accepté cette parole comme véridique et digne de foi .

    Ces paroles du Christ interpellent tous ceux qui les entendent en raison même de leur densité et de leur caractère extra-ordinaire .

    Nul autre que le Fils de Dieu lui-même, ne pouvait en être l’auteur, tant leur portée dépasse ce que l’homme le plus inventif et le plus hardi est capable de concevoir.

    Les textes évoqués , parlant de résurrection et de vie, laissent éclater la grandeur et la gloire du Fils de Dieu, en même temps que sa puissance, victorieuse de la mort même.

    Cependant, la grandeur de Jésus-Christ prend toute sa mesure lorsqu’il évoque sa propre mort sacrificielle.

    Matthieu 20v26 :

    "  le fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme rançon de plusieurs.. »

    Jean 15 v12 :

    «  Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande. »

    A n’en pas douter, si vous avez poursuivi votre lecture jusqu’à cette ligne, c’est que Jésus-Christ, par ses paroles , a su retenir votre attention . Je vous invite à mieux le connaître en le découvrant au travers de ses biographies que nous livrent le Nouveau Testament .

    Une dernière de ses paroles qui ne devrait pas vous laisser indifférents est tirée de l’Evangile de Jean ch 3 v 16 :

    "  Car  Dieu a tellement aimé le monde, qu’Il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit, ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle. »

    Simples paroles d’hommes ? Qu’en pensez-vous ?

     

          Jean-Marc AUSSET , le 28 octobre 2009

     

     

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  •  DES PAROLES QUI NE S’ENVOLENT PAS !

    Etrange affirmation qui semble contredire l’adage populaire : les paroles s’envolent et les écrits restent !

    Encore faut-il bien définir ce que l’on entend par « paroles ».

    En l’occurrence, il ne s’agit pas ici de la forme, verbale ou écrite, mais du fond, du contenu, du sens dont ces paroles sont porteuses.

    Certaines paroles sont si légères , si dénuées de sens , si frivoles que le moindre souffle de vent les emporte comme feuilles mortes .

    D’autres, sont si denses, si riches de sens, si bien enracinées dans un terreau qui exhale la vérité qu’elles résistent à l’épreuve du temps.

    Certaines même, par ce qu’elles expriment, semblent défier le temps et portent en elles comme un parfum d’éternité !

    Les deux textes qui vous sont présentés sont de cette veine . 

    Il s’agit des versets qui introduisent respectivement le Psaume 95 et le Psaume 96 que l’on trouvent dans la Bible.

    Psaume 95 :

                          « Venez, chantons avec allégresse à l’Eternel !

                    Poussons des cris de joie vers le rocher de notre salut !

                             Allons au devant de Lui avec des louanges,

                             Faisons retentir des cantiques en son honneur !

                             Car, l’Eternel est un grand Dieu.

                             Il est un grand roi au dessus de tous les dieux ! »

    Psaume 96 :

                           « Chantez à l’Eternel un cantique nouveau !

                              Chantez à l’Eternel, vous tous, habitants de la terre !

                              Chantez à l’Eternel, bénissez son nom,

                              Annoncez de jour en jour son salut !

                              Racontez parmi les nations sa gloire,

                              Parmi les peuples ses merveilles ! »

    Y a-t-il dans la littérature des hommes un seul texte qui soit animé d’un tel souffle, d’une telle puissance, d’une telle force de conviction, d’un tel élan et qui offre à ses lecteurs un spectacle et des perspectives aussi grandioses ?

    Certes, il vous sera possible de vous émerveiller devant tel ou tel joyau ciselé par la plume experte d’un grand écrivain ou d’un illustre poète, et vous serez peut-être transportés par la beauté des images évoquant la nature dans ce qu’elle peut avoir de délicat comme de majestueux, de paisible ou au contraire de tumultueux, éveillant en vous toute la palette de vos sentiments ; vous serez peut-être aussi bouleversés par l’admirable éloge porté par une grande voix à l’occasion des funérailles d’un personnage de haut rang accompagné jusqu’au Panthéon , et ce sont là des réactions naturelles ! 

    Mais, cependant, vous vous devez de reconnaître qu’une fois ces grandes émotions éteintes , il ne vous reste plus qu’un souvenir appartenant au passé que le temps va se charger d’estomper irrémédiablement.

    C’est qu’en effet, aussi admirables soient ces textes, aussi émouvants soient ces discours, ils ne font que décrire des objets, animés ou inanimés, qui participent d’un monde qui passe et qui meurt, nous renvoyant tragiquement à notre condition humaine stigmatisée par son éphémérité !

    Ainsi s’éteint le souffle qui portait aux nues, création et créature, dans un inéluctable retour à ses origines, la terre, terme de toutes les espérances et de toutes les illusions !

    Mais, revenez aux Psaumes dont nous avons lu les premiers versets et vous y découvrirez les raisons profondes qui en font des textes exceptionnels !

    Ici, point de tristesse , point de frayeur, point de regrets stériles, point de larmes vraies ou fausses, point de visages compassés, point d’émotions fugaces ni de sentiments labiles !                                                          Point non plus de repliement sur soi dans la douleur et la souffrance, pas plus que de jouissance savourée dans le cercle étriqué de l’intimité de son moi égoïste !

    Ici, tout se conjugue au pluriel dans une communion d’allégresse qui se nourrit de la joie de l’autre, pour aller en s’amplifiant dans un mouvement ascendant qui part de la terre pour monter jusqu’aux cieux !

    Mais, à quoi ou à qui devons-nous un tel enthousiasme ?

    D’où vient cette force d’attraction qui provoque ainsi une telle mobilisation ?

    En quel lieu mystérieux, à quelle source aussi vivifiante, le psalmiste est-il allé puisé son inspiration pour oser proclamer une convocation aussi universelle ?

    Invoque-t-il la grandeur, l’intelligence ou la puissance d’un homme porté au rang de demi dieu à l’image des vainqueurs romains promus à l’apothéose ?

    Ou mieux encore, fait-il référence au démiurge de Platon qui, dans sa Timée, est présenté comme une intelligence pure ordonnatrice du cosmos ?  Nullement !

    Invoque-t-il les éléments naturels comme autant d’entités supraterrestres ou de divinités immanentes susceptibles de justifier un tel engouement ?  

    Nullement ! Car, en effet, le regard du psalmiste est attiré par un personnage infiniment plus haut placé dont la stature et le pouvoir échappent à toute conception humaine . Il s’agit, rien moins que du grand Roi qui règne au-dessus de tous les dieux !

    Mieux encore ! Il porte le nom glorieux d’Eternel, le grand Dieu qui habite dans les cieux .

    Mieux encore ! Il nous est présenté comme le Dieu créateur.

    Mieux encore ! Il est appelé le rocher de notre salut.

    Dès lors, nous comprenons mieux la richesses des résonances dont vibrent ces textes qui ont traversé les siècles pour nous atteindre , aujourd’hui .

    Plus que cela encore, elles savent faire vibrer les cordes de nos cœurs, naturellement sensibles à la dimension de l’éternité.

    Et, c’est bien parce que l’Eternel-Dieu a mis en chacun la notion de l’éternité que l’image du «  rocher de notre salut » appelé aussi « le rocher des siècles » prend encore plus de relief.

    Or, voici que ce « rocher du salut » que le psalmiste évoque avec tant de flamme, rappelant implicitement les actions salvatrices de l’Eternel en faveur d’Israël, son peuple, voici qu’il se présente devant nous sous les traits d’un personnage hors du commun, ceux-là mêmes de Jésus-Christ , le Fils de Dieu, devenu fils de l’homme pour le salut des hommes.

    C’est ce Jésus qui nous a laissé ces paroles que nul autre ici-bas n’a osé prononcer :

    « si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi et qu’il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d’eaux vives couleront de son sein. » ( Evangile de Jean ch 7v38 cf  Esaïe ch 12v3 et ch 55v1 )

    L’apôtre Paul, s’adressant aux chrétiens de Corinthe ( 1 Cor ch10v1à4) affirme la préexistence de Jésus-Christ en le présentant de manière métaphorique comme le « rocher spirituel » qui suivait son peuple dans le désert pour le désaltérer :

    «  nos pères ont bu dans le désert le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait et ce rocher, était Christ . »

    Que dire de plus, sinon que, forts de ce que nous connaissons de la grâce de Dieu, manifestée en Jésus-Christ, mort pour le rachat de nos fautes et ressuscité pour notre justification , toutes choses que le psalmiste ne faisait qu’entrevoir, nous ne pouvons que nous laisser porter par le même souffle d’en-haut dans une louange jaillie de nos cœurs débordants d’une reconnaissance éternelle.

     Alors, mes amis, venez, chantons avec allégresse à l’Eternel !

    Poussons des cris de joie vers le rocher de notre salut ! 

    Racontons parmi les nations sa gloire,

    Parmi les peuples ses merveilles !

                                                                                                      

          Jean-Marc Ausset, le 15/11/2009

     

     

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  • HYMNE   A  JESUS-CHRIST : de la crèche à la croix 

     

    1)  Une nuit, à Béthléem, naquit un humble enfant

         dont le nom est adorable, c’est le fils du Tout-Puissant.

    Refrain : Jésus, Jésus, tu es notre Seigneur,

                     Ton nom apporte aux hommes le bonheur.

    2)  Dans le temple à Jérusalem, à 12 ans, Jésus s’entretint

         avec les docteurs stupéfaits de voir si grande autorité .

    Refrain :  Jésus, Jésus, tu es le fils de Dieu,

                    Car ton nom seul est la porte des cieux .

    3)  Jean-Baptiste, l’homme du désert, baptisa Jésus au Jourdain,

         Et l’on vit du ciel entrouvert descendre un messager divin.

    Refrain :  Jésus, Jésus, tu es le Dieu vivant, 

                    par ton esprit, tu aides tes enfants.

    4)  Au désert, conduit par l’Esprit, 40 jours il résista ;

         Tout ce que Satan lui offrit, le fils de Dieu le refusa.

    Refrain : Jésus, Jésus résiste au tentateur,

                   Jésus, Jésus pour sauver le pécheur.

    5)  Jésus eut un court ministère qu’il accomplit avec amour,

         Il n’avait rien sur cette terre, vivant pour les autres toujours.

    Refrain :  Jésus, Jésus, ton nom saint est amour,

                    Jésus, Jésus, tu veux nous sauver tous.

    6)  Accomplissant des miracles, Jésus soulageait bien des maux,

         Mais , méprisant ses oracles, l’homme lui tourna le dos.

    Refrain :  Jésus, Jésus , tu fus humilié

                    Jésus, Jésus, par ceux que tu aimais.

    7)  A Golgotha, mont du Calvaire, sur la croix, le Seigneur fut cloué,

          C’est là qu’il but la coupe amère et qu’il porta notre péché.

    Refrain : Jésus, Jésus, tu fus crucifié !

                   Jésus, Jésus, toi qui a tout donné !

    8)  Mais, victoire , Il est ressuscité, du tombeau la pierre est roulée,

         et près du Père  il est monté, celui qui pour nous s’est donné !

    Refrain :  Jésus, Jésus, nous bénissons ton nom.

                    Jésus, Jésus, quel magnifique don !

     

     

                                                                                    JMA Nov 1978

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  •    LES DANGERS DE LA PARESSE SPIRITUELLE

    Faites-tous vos efforts ! 

    Proverbes 19 v15 et 16 nous avertit en ces termes : 

    " la paresse fait tomber dans l'assoupissement et l'âme nonchalante éprouve la faim. celui qui garde ce qui est commandé garde son âme ; celui qui ne veille pas sur sa voie mourra ". 

    Romains 12 v 11 : 

    " ayez du zèle et non de la paresse ! " 

    2 Pierre 1 v 5 à 11 : 

    " Faites tous vos efforts pour joindre à votre foi la vertu, à la vertu la science, à la science la tempérance, à la tempérance la patience, à la patience la piété, à la piété l'amour fraternel, à l'amour fraternel la charité. Car si ces choses sont en vous, et y sont en abondance, elles ne vous laisseront point oisifs ni stériles pour la connaissance de notre Seigneur Jésus-Christ. Mais, celui en qui ces choses ne sont point est aveugle, il ne voit pas de loin, et il a mis en oubli la purification de ses anciens péchés. 

    C'est pourquoi, frères, appliquez-vous d'autant plus à affermir votre vocation et votre élection; car, en faisant cela, vous ne broncherez jamais. C'est ainsi, en effet, que l'entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ vous sera pleinement accordée. " 

    Les textes cités pointent du doigt une double réalité que chaque chrétien qui revendique son appartenance à la famille des enfants de Dieu doit prendre au sérieux . 

    La première de ces réalités concerne la propension naturelle à la paresse spirituelle. Se sachant sauvé par grâce, le chrétien peut aisément tomber dans le piège de la nonchalance et de l'assoupissement, en se reposant sur un oreiller de paresse. Il est satisfait de son état, se contentant d'une pratique religieuse qui n'a de religieux que l'apparence que lui confère sa présence au culte dominical. Le reste du temps, il se moule et se conforme aux us et coutumes de la société dans laquelle il vit. Rien ne le distingue de ses semblables dont il a conservé les pratiques. 

    Il a oublié que le témoignage chrétien est fondé sur un engagement de toute une vie selon des normes dictées par Dieu lui-même. " Ne vous conformez pas au siècle présent ! " Il a mis en oubli la purification de ses anciens péchés ." 

    La seconde réalité que le chrétien ne doit pas oublier, c'est que la vie chrétienne est un combat spirituel qui nécessite de sa part d'engager toutes ses forces pour vivre en vainqueur du mal et du péché. 

    " Faites tous vos efforts ! " 

    Cette injonction de l'apôtre Paul s'oppose radicalement à l'idée de paresse mentionnée par l'auteur des Proverbes . 

    Son caractère impératif souligne l'idée sous-jacente que, par nature, le chrétien n'est pas porté à une telle attitude . 

    Il s'agit là du terrain favori sur lequel l'Adversaire tentera d' entraîner l'enfant de Dieu pour le faire chuter. Le sachant convaincu d'être sauvé, c'est sur le terrain de sa volonté qu'il exercera son influence pour le distraire des objectifs de témoignage qui lui sont assignés par son Maître. 

    Si le sel perd sa saveur, il ne sert plus à rien ! 

    Si la lumière est mise sous le boisseau, elle n'éclaire plus! 

    Il suffit pour atteindre cet objectif délétère, de saper la volonté du chrétien en le berçant dans l'illusion de l'autosatisfaction d'une vie chrétienne a minima. 

    Une telle attitude est définie par l'apôtre Paul comme de la cécité spirituelle : " il est aveugle ! " 

    Il s'agit bien là d'un des pires handicaps qui ne peut que conduire à l'égarement spirituel. 

    Faites donc tous vos efforts pour joindre à la foi, la vertu,la science, la tempérance,la patience,la piété, l'amour fraternel et la charité ! 

     

    Puisse le Seigneur nous accorder la grâce de puiser en Lui les ressources pour nous permettre de réaliser dans nos vies , sans jamais fléchir,ce magnifique programme qui fera de chacun de nous des témoins véritables. 

    A Lui seul honneur et gloire ! 

     

    Jean-Marc Ausset, le 05/05/2001

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  •                 METTRE SA CONFIANCE EN DIEU :

    " L'ange de l'Eternel campe autour de ceux qui le craignent et Il les arrache au danger ". Psaume 34 v 8. 

    C'est le même esprit divin qui inspira au psalmiste ces paroles reprises sous une autre forme par le Fils même de Dieu lorsqu'Il dit : " je suis avec vous, tous les jours, jusqu'à la fin du monde ." 

    Cette promesse de notre divin Maître fait écho à celle du psalmiste et vient l'enrichir et la renforcer. 

    A n'en pas douter, l'ange de l'Eternel est bien la figure du Christ éternel qui , bien avant son incarnation, oeuvrait déjà parmi les hommes, et  de façon particulière en faveur des adorateurs du vrai Dieu. 

    Tout au long de l'histoire du peuple d'Israël, nous pouvons discerner sa présence active , efficace et réconfortante . 

    Combien nombreux sont les témoignages de ses serviteurs qui attestent son soutien et ses délivrances dans les circonstances les plus dramatiques ! 

    Hommes de foi , ils ont nourri par leur exemplarité la foi de leurs descendants dont nous sommes . 

    Qu'ils fussent rois, prophètes, bergers, juges ou simples serviteurs , ces hommes et ces femmes nous ont légué un héritage dont la valeur n'a fait qu'augmenter avec le temps car enrichi en permanence par une double certitude , celle de la miséricorde de Dieu ( sa hésèd ) et celle de sa fidélité (sa émet ). 

    Dès lors, il nous appartient à notre tour, d'enraciner notre foi dans ce terrain riche de promesses de vie , d'en expérimenter la prodigalité et d'en découvrir tous les bienfaits. 

    Notre Dieu est le même hier, aujourd'hui et éternellement ! 

    Ses promesses sont oui et amen ! 

    Il est avec nous tous les jours jusque dans l'éternité .

    Béni soit-Il ! 

     

    Jean-Marc AUSSET, le 17/01/2011

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  •                           VALEURS TOUJOURS ACTUELLES

    Proverbes ch 15 v 16 à 17: 

    " Mieux vaut peu, avec la crainte de l'Eternel, qu'un grand trésor avec le trouble. 

    Mieux vaut de l'herbe pour nourriture là où règne l'amour, qu'un boeuf engraissé, si la haine est là! "
     

    Proverbes ch 17 v 1 : 

    " Mieux vaut un morceau de pain sec, avec la paix, qu'une maison pleine de viande, avec des querelles ! " 

     

    Ces deux textes , sous forme de maximes, écrits plusieurs siècles avant Jésus-Christ, illustrent la recommandation de ce dernier lorsqu'il dit à ses disciples : " cherchez d'abord le royaume de Dieu et sa justice et toutes ces choses vous seront données par-dessus ." Jésus venait d'évoquer la crainte de ses auditeurs de ne pouvoir satisfaire aux besoins de la vie quotidienne : le manger, le boire et le vêtement . 

    L'auteur des Proverbes cités anticipait sur les paroles du Maître en invitant ses lecteurs à rechercher la crainte de l'Eternel , à pratiquer l'amour et à être des messagers de paix. Ce disant , il indiquait la voie à suivre qui sera reprise par le fils de Dieu lui-même . 

    De fait, chercher le royaume de Dieu et sa justice n'est rien d'autre que craindre l'Eternel, rayonner de son amour et être porteur de sa paix ! 

    Dès lors, le nécessaire vital ne sera plus un sujet de souci ou d'inquiétude car le Seigneur a promis d'y pourvoir.

    Il est à noter l'utilisation que fait l'auteur du paradoxe pour appuyer ses affirmations : 

    - mieux vaut peu, opposé à un grand trésor. 

    - mieux vaut de l'herbe, opposé à un boeuf engraissé. 

    - mieux vaut un morceau de pain sec, opposé à une maison pleine de viande . 

    Ces assertions sembleraient aller à contre-courant de la logique humaine si elles n'étaient assorties de trois ingrédients qui changent radicalement la situation: 

    - la crainte ou le respect de Dieu, opposés au trouble. 

    - l'amour, opposé à la haine. 

    - la paix, opposée aux querelles. 

    Les trois ingrédients cités en premier,donnent alors un goût nouveau, un arôme particulier au peu qui est dans l'assiette, à l'herbe et au pain sec, car imprégnés de la présence divine, de l'amour et de la paix , autant d'épices rares qui n'ont pas de prix et qui sont éternelles. 

    A l'inverse, le grand trésor, le boeuf engraissé comme la maison pleine de viandes perdent leur saveur et se corrompent au contact du trouble, de la haine et des querelles. 

    Ces paroles sont plus que jamais d'actualité  dans un monde consumériste où les injustices se multiplient à cause de la dureté du coeur de l'homme. 

    Aussi est-il bon de nous les rappeller sachant que Celui qui les a inspirées à promis de prendre soin de tous ceux qui cherchent en Lui leur refuge. 

    Alors, n'hésitons pas, osons faire confiance à Celui qui a dit: je suis le chemin, la vérité et la vie . 

    Jean-Marc Ausset mars 2011

     

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  •                              MARCHER PAR LA FOI ! 

     

    Les textes évoqués au chapitre 11 de l'épître aux Hébreux sont scandés 14 fois par la formule : " c'est par la foi que ...". 

    Après chacune de ces formulations s'ensuit une vision de la volonté de Dieu suivie d'un acte d'obéissance. 

    A n'en pas douter , les acteurs de cette magnifique et émouvante fresque ont éprouvé au fond de leur coeur la présence réconfortante de leur Seigneur ainsi que la joie de se savoir approuvés . 

    Leur coeur a été réchauffé , leur espérance ravivée par la découverte du plan de Dieu pour leur vie .

    La foi possède , en effet, cette vertu d'éclairer le chemin de ceux qui sont conduits par elle. S'appuyant sur les réalisations passées de l'Eternel, elle se saisit de ses promesses pour affronter l'inconnu avec confiance sachant que cet inconnu est connu de Dieu. 

    Fort de sa divine parole qui est une lampe sur son sentier, le croyant marche pas à pas sans crainte du lendemain. 

    Par la foi, il est à même de discerner , même à travers le brouillard, ce qui est invisible à ses yeux. 

    C'est ainsi qu'Abraham partit sans savoir où il allait . 

    C'est ainsi aussi que Moïse se montra ferme, comme voyant celui qui est invisible. 

    C'est cette même foi dans le même Dieu qui anime aujourd'hui encore les croyants que nous sommes, appelés chrétiens car disciples du Christ le Fils de Dieu. 

    C'est par la foi que nous voyons et saluons de loin le grand jour de la résurrection . C'est par la foi que nous voyons et saluons à l'avance le retour en gloire de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ qui descendra des cieux sur les nuées pour inaugurer ce jour éternel . 

    C'est par la foi que nous vivons sa présence rassurante à nos côtés dans notre vie quotidienne . 

    C'est par la foi que nous Lui remettons notre présent et notre lendemain car il a promis d'être avec nous par son Esprit jusqu'à la fin du monde. 

    Dès lors, chers amis et chers lecteurs, laissons nos coeurs battre au rythme de son coeur , réchauffés par la chaleur de son amour et dynamisés par l'espérance glorieuse qui nous est offerte. 

    Votre frère et ami, Jean-Marc Ausset  



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  •                                              LA SAINTETE: fruit  de la grâce divine

    Colossiens ch 1 v 21 à 23 : 

    "Et vous, qui étiez autrefois étrangers et ennemis par vos pensées et par vos mauvaises oeuvres, il vous a maintenant réconciliés par sa mort dans le corps de sa chair, pour vous faire paraître devant Lui saints, irrépréhensibles et sans reproche, si du moins vous demeurez fondés et inébranlables dans la foi, sans vous détourner de l'espérance de l'Evangile que vous avez entendu, qui a été prêché à toute créature sous le ciel, et dont moi, Paul, j'ai été fait ministre. " 

    Ce texte récapitule magistralement l'intention de Dieu et ses desseins de salut au bénéfice des pécheurs que nous sommes , desseins manifestés et réalisés par le sacrifice expiatoire de son Fils Jésus-Christ, expression visible de sa sainteté. 

    Mieux encore, Il inscrit notre avenir dans une perspective de sainteté qui devient le signe de notre appartenance à son Royaume de lumière. 

    Une telle perspective aurait de quoi nous sembler hors de portée s'Il n'avait pourvu dans sa grâce à sa réalisation. 

    C'est ainsi que par elle , nous avons eu accès au salut par le don de la foi , et c'est encore par cette même grâce que notre foi est entretenue et activée. 

    C'est ainsi que, par la foi, nos regards se nourrissent de l'espérance que nous offre l'Evangile qui fait rayonner à nos yeux les beautés de la cité céleste et qui nous incite à rechercher cette sainteté dont elle est parée. 

    Etant donc, ici-bas, les ambassadeurs de ce royaume de sainteté, d'harmonie, de pureté et de lumière, il nous appartient de nourrir notre foi et de rafraîchir notre espérance pour nous débarrasser de toutes pensées et de toute mauvaises oeuvres qui viendraient ternir l'image de Christ et porter atteinte à la gloire du Dieu trois fois saint , auquel nous devons, honneur, louange et gloire au siècle des siècles . 

    Que le Seigneur , par son Esprit saint, nous aide à accomplir ses desseins d'amour et de sainteté.

    Jean-Marc Ausset le 21 mars 2011

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  •   LA VISION SPIRITUELLE 1/8 : les défauts de vision

                            2 Pierre ch 1 v 5 à 10

                           Jean-Marc Ausset 2011

     

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  •                            LA VISION SPIRITUELLE 2/8 : les lentilles correctrices de la foi et de la vertu

    2 Pierre ch 1 v 5 à 10

    Jean-Marc Ausset 2011

     


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  •                                 LA VISION SPIRITUELLE 3/8 : la lentille correctrice de la science

    2 Pierre ch 1 v 5 à 10

    Jean-Marc Ausset 2011

     


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