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poèmes et textes de chants
La poésie a la vertu d'élever l'âme. Elle est tout à la fois expression d'idées, de pensées mais aussi de sentiments. Son langage expressif ou imagé est soutenu par la musicalité de la rime et du rythme. Elle fait appel à l'imaginaire aussi bien qu'à la pensée réfléchie. Elle exprime ou seulement suggère. Elle sait jouer sur les images et les couleurs qui donnent du relief et de l'attrait à son objet.
Chers lecteurs, vous trouverez ici quelques poèmes ou paroles de chants qui veulent exprimer la reconnaissance de leurs auteurs envers celui qui les a suscités.
Pour lire tel ou tel poème, il suffit de cliquer en bas de page sur le chiffre qui correspond à sa place dans le sommaire.
SOMMAIRE :
C'est vendredi : JMA
Ton enfant : J. Cros
L'amour de mon Sauveur : Jeanine Cros
Espérance: Jeanine Cros
Le prophète de l'Eternel: Jeanine Cros
Ecoute ! Jeanine Cros
La fleur a-t-elle un Père ? Jeanine Cros
Que mon âme te loue ! Jeanine Cros
Le prophète : Jeanine Cros
Tu étais là: Catherine Roca
De la vie à la vie: Catherine Roca
Les mains : Danièle Bertrand
Le souffle de l'Esprit : JM Ausset
Le regard de Jésus : Jeanine Cros
L'ange de l'Eternel : Jeanine Cros
L'espoir : Jeanine Cros
Entendre ta voix : Jeanine Cros
L'amour de l'enfant : Jeanine Cros
Tempête apaisée: Jean-Marc Ausset
Suprême Amour: Jeanine Cros
Le prix d'une âme : Jeanine Cros
Dès le matin: Jeanine Cros
Amour fraternel: J. Cros
Consolations divines: J. Cros
Si la racine est sainte: J. Cros
Combattre pour la paix: Jean-Marc Ausset
Chante Alléluia! : JMA
Hommage à ceux qui sèment: JMA
Espoir de vie dans les ténèbres: JMA
Le jour où nos chemins se sont croisés: JMA
Une rencontre hors norme: JMA
Le temps s'enfuit: JMA
Où va l'humanité ? : JMA
Lorsque tu es dans la peine: JMA
Sur les chemins de la vie: JMA
Au jardin de l'humanité: JMA
Trajectoire de vie: JMA
Hymne à Jésus: JMA
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Par jean-marc-andré le 19 Octobre 2020 à 18:32
Traduit de l’anglais et adapté par Jean-Marc AUSSET
d’aprés le texte de SM. LOCKRIDGE, pasteur de
l’église Calvary Baptist Church à San Diego
(Californie ) de 1953 à 1993
C’est vendredi ! Jésus est en prière, Pierre est endormi ;
et Judas vient de trahir Jésus ; mais dimanche va venir !
C’est vendredi ! Pilate ne sait trop que faire, le conseil conspire! La foule conspue Jésus ; ils ne savent même pas que dimanche va venir!
C’est vendredi ! Les disciples courent comme des brebis sans berger. Marie étouffe ses sanglots ; Pierre renie son maître ; Mais, ils ne savent pas que dimanche va venir !
C’est vendredi ! Les Romains frappent Jésus ! Ils le revêtent d’écarlate ! Ils le couronnent d’épines ; mais, ils ne savent pas que dimanche va venir !
C’est vendredi ! Regardez Jésus marchant vers le Calvaire ; Son sang ruisselle sur son corps ; il avance en trébuchant ; son esprit est accablé ! Mais, voyez-vous, c’est seulement vendredi ! Et dimanche va venir !
C’est vendredi ! Le monde croit avoir gagné ! Les gens continuent à pécher ! Et le diable grimace de joie !
C’est vendredi ! Les soldats enfoncent des clous dans les mains de mon Sauveur ! Ils clouent aussi ses pieds dans le bois de la croix ! Puis, ils dressent sa croix entre celles de deux criminels .
C’est vendredi, mais, retenez bien ceci, c'est que dimanche va venir !
C’est vendredi ! Les disciples s’interrogent : qu’est-ce qui est arrivé à leur roi ? Tandis que les pharisiens se félicitent de leurs manigances qui ont réussi ; mais ils ne savent pas que dimanche va arriver !
C’est vendredi ! Le voilà pendu au bois ! Il ressent la solitude et le terrible abandon de son Père qu'il exprime au travers de ce cri de détresse:" Eli, Eli lama sabachthani !" Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?"
C’est vendredi mais dimanche va venir !
C’est vendredi ! La terre tremble, le ciel devient sombre, mon Roi rend son esprit !!
C’est vendredi ! Tout espoir est perdu ! La mort a gagné ! Le péché a vaincu et Satan se réjouit !
C’est vendredi ! Jésus est mis au tombeau. Un soldat monte la garde et une lourde pierre est roulée devant l’entrée ;
mais, c'est vendredi; c'est seulement vendredi !!
Et dimanche est enfin arrivé! Mais Christ est alors ressuscité !
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Par jean-marc-andré le 21 Mars 2020 à 17:30Ton enfantSeigneur avec tendresseTu soutiens ton enfant,Jusqu'à blanche vieillesse,Et selon ton serment.
Tu le prends par la mainQuand s'égrènent les ans,Le remplis d'Esprit-Saint,Eloignes le tourment.
Ton amour infiniLui assure la joie,Et l'éternelle vieToujours auprès de toi.
La paix soit avec toiDis-tu à ton enfant,Tous les jours je suis làJusqu'à la fin des temps !Jeanine Cros : 21 mars 2020
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Par jean-marc-andré le 19 Novembre 2019 à 20:10L'AMOUR DE MON SAUVEUR.L'Amour incomparable de Jésus mon Sauveur
Ô joie inaltérable, vient sécher tous mes pleurs.
Cet amour sans pareille, que rien ne peut changer,'Sans détour m'émerveille tout au long des années.
Trésor irremplaçable, source pure de vie,
Amour inaltérable, merveilleux infini !C'est un joyau parfait, l'amour de mon Sauveur,C'est la joie et la paix, qui inondent mon coeur.Il lave et purifie, Il oublie mes forfaitsIl Pardonne, il guérit, sans jamais se lasser.Il embrase mon coeur, se donne sans compter,me comble de douceur, de bonheur et de paix.Rien ne pourra jamais me séparer de lui,De cet amour parfait jaillissant de sa vie !Jeanine Cros , 19/11/2019
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Par jean-marc-andré le 16 Septembre 2016 à 12:07
Par ton souffle puissant.
Par ton souffle puissant,
Les eaux tu amoncelles,
Par ton haleine forte,
La mer tu renouvelles !
Par ta miséricorde, Tu as sauvé ton peuple,
Et en ce jour encore,
Tu fais voir les aveugles.
Avec toi, plus de crainte.
A toi, Dieu Eternel,
Nous confions nos plaintes
Et tu ouvres ton ciel.
Tu chasses l'ennemi,
Renverses l'adversaire
Qui s'enfuit à grands cris
Par ta sainte colère.
Ton peuple acquis te chante,
Et te loue humblement,
Car de ta main puissante,
Tu l'amènes en avant.
Ton règne est éternel,
Ô Dieu fort et puissant,
La paix venant du ciel
Inonde tes enfants.
A toi l'honneur, la gloire,
Ô Dieu de vérité !
Devant toi vient s'asseoirTon peuple racheté.
Jeanine Cros septembre 2016
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Par jean-marc-andré le 14 Février 2015 à 15:00EspéranceLes oiseaux sans nul douteChantent et font leur concert,Par temps gris ou ciel clair.Ecoute, et sois joyeux !Il y a dans les cieuxToujours une espérancePrête pour qui avance !Qui passe sur ton front,chassant le désespoirPour parler de victoire.Un joyau est caché,Dans le fil des années ;Les épreuves l'affinentEt le rendent sublime.Espère en un printempsQui sûrement arriveComme légère brise.Il s'annonce et fleuritCouleur myosotis,Pour redonner la joieJusque dans l'au-delà...Espère ! Jeanine Cros, février 2015______________
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Par jean-marc-andré le 29 Octobre 2014 à 14:19
Ecoute !
Ecoute, tends l'oreille à ces cris déchirants
Que partout dans le monde lancent les coeurs d'enfants.
Ils déchirent le ciel, d'où ils sont entendus ;
Bientôt avec justice verdict sera rendu.
Regarde et vois les forts du haut de leur panache
Ecraser les petits, sans pitié sans relâche.
Entends et vois ces pleurs chaque jour déversés,
Par des âmes blessées, par des vies déchirées.
Encourage et soutiens, dans un élan de foi,
Prends la plume ou le glaive, selon le Roi des rois.
Pleure avec moi, oui pleure, sur ces âmes livrées,
A des choses infâmes, par la loi condamnées.
Parle ne te tais point, dénonce sans ambages
La cruauté le mal. Arme-toi de courage !
Ne crains pas et détache du mal tous les verrous
Renforce les cordages tenant l'homme debout.
Malgré les vents contraires, sois un passeur d'amour,
D'espérance et de foi, sans te lasser, toujours.
Partage ta pitance, avec le malheureux,
Dont le chant de louange s'élèvera vers Dieu.
Quelle joie, quelle joie dans le ciel et sur terre,
Lorsqu'une âme est sauvée et se courbe en prières,
Parce qu'une sentinelle a voulu écouter
La tendre voix du Père, proclamant sa bonté !
Jeanine Cros, octobre 2014
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Par jean-marc-andré le 7 Octobre 2014 à 17:30
L'edelweiss un sculpteur,
L'arc-en-ciel un parterre,
Le cèdre un ciseleur ?
Connais-tu le potier qui façonna le ciel,
La terre, les abîmes, la limite des mers ?
Sais-tu par quelle main, le vent devient pastel,
Et l'ouragan terrible met la vague à l'envers ?
Entends-tu le murmure
Qui vient remplir ton âme
De nourriture sûre
Effaçant tes alarmes ?
Qui peut d'une parole, et sa toute puissance
Donner souffle de vie à chacun des humains ?
As-tu sondé la terre et calmé la souffrance
De tous les coeurs criant par peur du lendemain ?
As-tu compris l'amour
Qui n'est pas d'ici-bas,
Volant à ton secours,
Crois-tu que du rocher peut jaillir une source,
Pour te désaltérer tout au long du chemin ?
Mesures-tu le ciel et toutes ses ressources
Infiniment plus grandes que chaque instant serein ?
Oui, la fleur a un Père
Et l'amour un auteur
Qui aime sans frontière,
Et veut remplir ton coeur !
Jeanine Cros, octobre 2014
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Par jean-marc-andré le 17 Septembre 2014 à 14:12
Que mon âme te loue !
Dans le creux de la nuit et par un ciel serein,
Tu viens à ma rencontre et tu m'offres ta main ;
Tu apaises mes doutes et calmes ma douleur
De ta paix sans pareille, ton esprit de douceur.
J'entends ton doux murmure, O, Dieu qui me ravit,
Qui inonde mon coeur d'une douce harmonie.
Je ne puis te saisir, te cherche et puis t'appelle...
D'un vol feutré, tu viens tout comme l'hirondelle,
Te poser sur mon âme, et raviver ma joie.
Tu viens sans un reproche faire couler en moi
Ta source pure et fraîche, renouvelant ma vie
Par ton souffle puissant jusque dans l'infini.
Qui d'autre, O, mon Seigneur pourrait ainsi combler
Par ta paix retrouvée, mon coeur et mes pensées ?
Qui peut par sa parole, créer en un instant
Et la mer et le ciel, et l'impalpable vent ?
Toi seul tu ES, tu viens, tu sauves, tu bénis !
O, combien tu es digne quand ta voix douce dit :
Reviens o, mon aimée ! Je ne peux que venir
Sauter, danser, agir et sans tarder courir.
Te rejoindre, O, mon Roi. C'est le voeu de mon coeur.
Tu promets et tu tiens et tu nous rends vainqueurs !
Que mon âme te loue, toujours et à jamais
Dans ton palais d'amour et pour l'éternité !
Jeanine Cros, septembre 2014
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Par jean-marc-andré le 10 Septembre 2014 à 17:16
Le prophète
Comme une source claire, comme le vent d'autan,
Le prophète libère un message important.
La source et puis l'esprit, sont comme lui soumis
A la force suprême du Dieu de l'infini.
Contre vents et marais, il avance et proclame
Des paroles de vie qui délivrent les âmes ;
Il crie dans le désert, et n'est pas écouté,
Sinon par ceux qui croient qu'il est bien l'envoyé.
C'est Dieu qui l'a choisi. Ecoute ce qu'il dit !
Ne laisse pas en toi entrer un autre esprit
Fait d'orgueil, de révolte, et non d'amour de joie,
Ecoute mon ami ce cri du ciel vers toi !
Comme un phare perçant le brouillard dans la nuit,
Le prophète fidèle, en tout temps avertit.
Il annonce et poursuit le plan de Dieu parfait
Qui dans les coeurs meurtris amènera la paix.
A chaque époque on voit, ces martyrs à genoux
Que le monde rejette et qui restent debout
Par la force divine, jusque dans l'au-delà.
Ils sont humbles et héros, mais on ne le voit pas...
La semence est jetée à portée éternelle,
Et le prophète sait ce qu'est la vie nouvelle.
Il espère toujours, même si comme Etienne
Il soupire et pardonne, lapidé dans l'arène.
Il sait ce fier soldat, que dans l'éternité,
L'attend le Roi des rois, Seigneur de l'unité,
Le prince de la paix dont le trône est d'amour
Rayonnant d'avenir, nommé l'Ancien des jours.Jeanine Cros , 10/09/14
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Par jean-marc-andré le 7 Avril 2014 à 17:49
TU ETAIS LA
Tu étais là
Quand dans la brume de mon enfance
Se perdait mon innocence
Quand fatiguée
Je me laissais dériver
Tu étais là
Savourant la paix du soir
Tu étais là
Quand une main tendue
M'a secourue
Tu étais là
Comme une paix indicible
Comme une présence invisible
Au cœur de ma souffrance
Parlant d'espérance
Tu étais là
Attendant avec patience
Que finisse mon silence
Dans les rires de ma fille
Dans ses yeux où le soleil brille
Tu étais là
Quand le ciel soudain orageux
Semblait vouloir nous fermer les yeux
Tu étais là
Comme une paix indicible
Comme une présence invisible
Tu étais là
Me gardant avec tendresse
Tu étais là
Accompagnant chacun de mes pas
Ici ou là-bas
Tu étais là
Jour après jour
M'offrant tout ton amour
Toi le Seigneur que j'adore
Et aujourd'hui encore
Tu es là
Comme une paix indicible
Comme une présence invisible
Catherine Roca
Novembre 2005
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Par jean-marc-andré le 7 Avril 2014 à 17:47
DE LA VIE A LA VIE
Sans rien, espérant le bonheur
J'ai connu la misère
La fatigue et les pleurs
Mais un jour quelqu'un
A frappé chez moi
Etait-ce un soir ou un matin
Il avait l'air d'un roi
Roi couronné de souffrance
De lumière et de gloire
Promesse d'espérance
D'un avenir auquel on peut croire
Je lui ai ouvert ma porte
Et d'un vie à jamais morte
Il a fait jaillir l'éternité
Qu'importe les embûches du chemin
La fatigue ou la peine
Il me tient par la main
Vers le ciel il me mène
Avec Dieu mon Sauveur
Pour vivre dans la lumière
Et connaître le bonheur
Catherine Roca
Septembre 2004
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Par jean-marc-andré le 28 Novembre 2013 à 17:55
LES MAINS
Mains admirables
Vêtues de foi et d'amour
D'or pur et de lin
De chaînes ou de cendres.
Se sont jointes,
Gercées, égratignées,
Mains des humains.
Mains de ma foi
Dressées, pliées, brisées,
Mains de la vie
Toujours actives
A la recherche de ceux qui souffrent,
Hurlent,
Attendent que mes mains saisissent
Les leurs,
Attendent que les miennes
Reprennent vie dans ta chaleur,
O, Dieu !
Mains de la grâce,
Mains de la vie
Divine.
O, Dieu, je joins mes mains
Afin que, comme Daniel
Tu libères les mains
De leurs chaînes,
Et que, telles des colombes
Désormais,
Elles voguent vers d'autres
Mains,
Mains d'hommes et de Dieu,
Emmêlées, indivisibles,
Aussi tranchantes que l'épée,
La paume douce, retournée,
Humbles dans leur éternité.
Danièle BERTRAND ( Le Chambon-Sur-Lignon)
Aux mains qui ont sauvé tant de Juifs
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Par jean-marc-andré le 14 Septembre 2013 à 20:46
Le souffle de l’Esprit
Vent de tempête ébouriffant les arbres,
Rugissant dans les branches écartelées,
Sifflements déchirants comme un orgue en folie,
La nature apeurée s’enfouit sous ses décombres.
Doux zéphyr dont le souffle est comme une caresse,
Effleurant tendrement les hampes des iris,
Murmures apaisants comme mots de tendresse,
La nature s’endort, bercée dans l’harmonie.
Ainsi souffle l’Esprit, parlant à l’âme humaine,
Tantôt avec puissance, tantôt avec douceur,
Sonnant comme trompettes ou susurrant au cœur,
Il ébranle les rocs, rassure ceux qui peinent.
Si du vent de l’Esprit, tu as senti le souffle,
Si ton cœur endurci a perçu sa puissance,
Si ton âme assoiffée a goûté sa présence,
Libère-toi sur lui de tout ce qui t’étouffe.
Jean-Marc Ausset, septembre 2013
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Par jean-marc-andré le 6 Juin 2013 à 17:56
Le regard de Jésus
Jésus regarda Pierre. Peux-tu voir ce regard,
De pardon et d'amour invitant à la vie,
A l'heure où les humains, préparaient, sans retard,
La pire cruauté, les heures d'agonie ?
Refrain :
N'oublie pas ce regard, O ne l'oublie jamais,
Il proclame : je t'aime, sans jamais se lasser !
Vers l'apôtre, vois-tu, le regard du Seigneur,
S'est tourné lentement ; Personne n'a parlé.
C'était le temps de Dieu, c'était le jour et l'heure !
Dans un profond sanglot, le disciple a pleuré. Refrain.
Pierre, par ce regard, avait soudain compris
Que son Maître était Dieu, venu pour le sauver.
Il avait renié le Prince de la vie,
Qui porterait bientôt la couronne tressée. Refrain.
Dans ce regard d'amour le disciple a perçu
La mort et la victoire, tout à la fois mêlées,
La paix, la joie, la gloire pour tous ceux qui ont cru,
Au coeur de l'évangile, par cette croix dressée. Refrain.
Viens et vois ce regard, qui transforme les coeurs,
Par un choc triomphal, ton âme il purifie.
C'est le buisson ardent, flambant de toute part,
et ponctuant l'appel de l'offre de la vie. Refrain.
Ce regard sans pareil veut t'inonder d'amour,
Par sa mort sur la croix et sa résurrection,
Le Seigneur te convie à son divin séjour.
Viens à lui maintenant, et suis sa direction ! Refrain.Jeanine Cros, juin 2013
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Par jean-marc-andré le 21 Mai 2013 à 20:34
L’ange de l’Eternel
As-tu vu cet ange
Qui mène à l'Eau Vive,
Chantant des louanges,
Jouant de la lyre ?
Envoyé de Dieu
Là sur ton chemin,
Regard vers les cieux,
Il saisit ta main.
L'Ange du Seigneur
Ce jour te protège,
Et de tes douleurs,
Ton coeur il allége.
O garde tes yeux
Fixés sur sa voie,
Afin que joyeux
Tu suives ses pas.Dans le sûr abri
De sa providence
Sa joie te ravit,
Fort de sa présence.
Jeanine Cros, mai 2013
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Par jean-marc-andré le 21 Mars 2013 à 16:29
L'ESPOIR
Un rayon de soleil
Un mot de réconfort,
Un bonheur sans pareil
Qui rend le coeur plus fort.
C'est l'oiseau du printemps,
L'arc en ciel radieux,
Alliance en tout temps
Qui traverse les cieux.
C'est le pardon reçu
La justice trouvée
La grâce d'être élu
Celle d'être épargné.
L'espoir est fait de joie
Exultation du coeur,
Reconnaissance, émoi,
Amour de Dieu sans peur.
C'est trouver l'ami vrai
Qui comprend et rassure,Chercher l'humilité
Oublier les blessures.
C'est chercher l'Eternel
Et pratiquer ses lois,
Se tourner vers le ciel,
L'espérance et la foi.
Cet espoir nous rend libres,
Transformés et joyeux,
Il donne goût de vivre,
Illumine les yeux.Jeanine Cros, mars 2013
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Par jean-marc-andré le 26 Octobre 2012 à 10:52
Entendre ta voix
Combien j'aime ta voix,
Ta voix qui me rassure
Qui me dit ne crains pas,
Je suis l'asile sûr !
La nuit quand tout se tait
Et que le sommeil fuit,
Tu ouvres le sentier,
D'un vrai torrent de vie !
Ton doux rayon m'éclaire,
et ton chant me console,
Alors que par ma chair
Le combat me désole.
Pourquoi tant de tracas
Alors que ton soleil
Me pénètre ici-bas
D'un rayon sans pareil.
Que ta voix me suffise
Seigneur je viens à toi,
sans fard qui me déguise
Je veux suivre ta loi !Seule ta grâce alors
Illumine mon ciel,
Et plante le décors
D'une vie sans pareil.
Tu préviens des écueils,
Et tu armes mon bras
Qui n'est plus jamais seul
quand mon pas suit ton pas !...Jeanine cros : octobre 2012
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Par jean-marc-andré le 24 Octobre 2012 à 13:24
L’AMOUR DE L’ENFANT
Les ans n'effacent pas l'amour.
Si la guerre noircit les jours
Tumultueux, il dort
Et ressort rempli d'or.
L'amour défie le temps, il court
Se cache et sort sans un détour
A la moindre occasion,
Se moquant des saisons.
Il revient réchauffer le coeur
Qui saute et revit de bonheur,
En ranimant la flamme
Et déposant les armes.
Il est comme un torrent .Bondit
Sans jamais se lasser, il fuit
Serpente et puis, repart
Et revient sur le soir.
Il s'accroche à l'espoir toujours.
De l'enfance à l'ancien des jours,
il reste triomphant
Dans le coeur de l'enfant.
Il refleurit dans la chaumière
Et redonne la vie
A toute âme qui dit :
Je crois, ne tarde pas, reviens !
Dieu te montrera le chemin !
Comme l'enfant joyeux
Tu saisiras les cieux !
Jeanine Cros : octobre 2012
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Par jean-marc-andré le 28 Juin 2012 à 11:40
Tempête apaisée
Se peut-il qu'au delà de ce nuage noir
Que le vent de l'épreuve a tissé sur mon ciel
Le Fils du Tout-Puissant en qui seul j'ai espoir
Ait pu m'abandonner, repoussant mes appels ?
Dans mon coeur, l'ouragan semble avoir balayé
Toutes mes certitudes, tous mes points de repère.
Comme le bateau fou sur la mer déchaînée
Mon âme est ballotée par les vents de la terre.
Mistral du désespoir, tramontane du doûte
Ont soulevé en moi des vagues d'amertume
Dont les embruns opaques ont obscurci ma route
Tandis que, déchiré, je roule dans l'écume.
L'angoisse me saisit, montant comme une houle.
Un abîme de craintes s'ouvre devant mes pas.
Seigneur, ne vois-tu pas qu'en cet instant je coule ?
Où donc es-tu allé, pourquoi n'es-tu pas là ?
Je suis là près de toi, regarde à tes côtés !
Sans cesse mon regard sur toi reste posé.
Aveuglé par tes larmes, tu ne pouvais me voir
Mais j'étais bien présent au fond de ta nuit noire.
Mon enfant, ne crains rien, mets ta main dans la mienne.
Si ton fardeau est lourd, laisse-moi m'en charger.
Tout participe au bien de celui que Dieu aime.
Ce que Dieu veut pour toi : que sa grâce soit tienne.
Jean-Marc Ausset 1986
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Par jean-marc-andré le 13 Janvier 2012 à 11:43
Suprême Amour :
Un airain qui résonne !
Si je n'ai pas l'amour,
Je n'suis rien pour personne !
Où est donc la bonté
Que quémande tout être,
Cherchant la vérité,
Jusqu'à perdre son être ;
Cet amour patient,
sans fard et sans orgueil,
Pour toujours bienséant,
franchissant les écueils ?
Il ne périt jamais,
Et verra face à face,
Jusqu'en l'éternité,
Celui qui ne se lasse.
Merci pour cet amour
Qui pour toujours demeure,
Le seul qui dit toujours,
Relève ceux qui pleurent.
Il unit les amis,
Venant du tout-puissant,
Toujours il réjouit.
Le parfait paraîtra,
Le partiel aboli ;
Alors, on le verra
Au-delà de la nuit !
Jeanine Cros, janvier 2012
Cf : 1 Corinthiens ch13
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