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Par jean-marc-andré le 13 Janvier 2012 à 11:29
Le prix d'une âme.
Que si dans tes entrailles,
Tu as senti frémir
Comme un feu de broussailles.
Cette angoisse inaudible
Qui fait couler les larmes
En tumulte indicible,
Sans trouver aucune arme.
Cela ressemble un peu
Au prix qu'à dû payer,
Celui qui par le feu
De la mort est passé.
De Christ, je veux parler,
Mourant sur une croix,
Enfin ressuscité
Pour t'ouvrir à la foi.
Il connaissait le prix
Du salut de ton âme ;
Pour cela a dit " oui"
A cette croix infâme.
Son sang il a versé
Pour t'offrir le salut
La mort il a vaincue.
Ton âme est à ce prix,
Et si le mal en toi,
T'arrache quelques cris,
Ne crains rien il est là !
Jeanine Cros janvier 2012
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Par jean-marc-andré le 12 Décembre 2011 à 11:18
Dès le matin !
Quand le miroir du soir te renvoie ton image,
Vois le regard du Père qui contemple avec joie,
Son Fils, son bien-aimé, tendrement, sans nuage,
D'un amour infini, qui transcende le moi.
Il voit sur ton visage, un rayon qui l'honore,
Celui du pur sarment, émondé par ses soins,
Et ton âme sauvée, et le beau de l'aurore,
Que lui-même a créé, depuis des temps lointains.
Quand sur fond de musique, ton âme est caressée,
Par le souffle léger, du murmure de Dieu,
Repasse dans ton coeur, chacun de ses bienfaits,
Son amour aussi grand que l'infini des cieux.
Alors, dès le matin, ce n'est plus le miroir,
Ni une image floue, que tes yeux percevront,
Mais le Fils bien-aimé, jusqu'aux ombres du soir.
Et sans cesse et partout tes oeuvres le loueront...
Jeanine Cros mai 2011
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Par jean-marc-andré le 12 Décembre 2011 à 11:11
Amour fraternel !
Comme l'astre au point du jour,
Comme l'éclat de l'amour
Resplendissant de merveilles,
Jouant de couleurs vermeilles,
L'amour d’un frère est toujours
Franc, direct et sans détour,
Il ne s'assoupit, mais veille,
Car jamais il ne sommeille.
Cet amour qui vient de Dieu,
Enchante les coeurs, les yeux.
Il redonne vie à l'homme,
Le restaure, tel un baume.
Quand on marche et qu'on est deux,
Le soutien nous rend heureux,
Et les nuages, en somme,
Sont suspendus, comme un dôme.
Comme l'astre, au point du jour,
L'amour du frère est toujours,
Un cadeau qui vient de Dieu,
Pour marcher d'un coeur joyeux.Jeanine Cros , Lunel, 2010
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Par jean-marc-andré le 12 Décembre 2011 à 11:00
Consolations divines.
L'Eternel cueille les larmes
De celui qui est blesséPar le glaive, les sarcasmes,
L'épée ou les coups de fouet.
N'est-il pas le Tout-Puissant,
Le seul Dieu, le Créateur,
Lui qui nous a tant aimés
Et son Fils nous a donné ?
Si le ciel est toujours bleu
Et le sol si généreux,
C'est parce que sans se lasser,
Son amour est dispensé.Je n'ai plus pour unique arme,
Que son soutien assuré,
Quand le glaive ou bien le fouet,
Tirent de mes yeux les larmes.L’Eternel recueille les larmes
De son enfant tout meurtri
Sous les coups et par les armes
Qui contre lui furent fourbies.
Jeanine Cros, Lunel 2011
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Par jean-marc-andré le 12 Décembre 2011 à 10:27
Si la racine est sainte….
Si la racine est sainte, aussi le sont les branches,
Si aucun rejeton n'est empli d'amertume,
Les fruits sont abondants, et la corolle blanche,
Rien n'est à rejeter dans ce tronc qui parfume.
Fléchissons le genou enfin devant le Père,
Afin qu'enracinés et fondés dans l'amour,
De par le Créateur, du ciel et de la terre,
La plénitude en Christ, nous comble chaque jour.
Quand la sève qui coule apporte la vigueur,
L'arbre planté est fixe et n'est plus agité,
Ainsi nourri des sucs embellissant la fleur,
Il resplendit radieux, affermi sur son pied.
La racine du juste est pour toujours solide,
Et malgré le méchant il peut rester debout,
Parce que l'être intérieur, n'est pas rempli de vide,
Mais de vie abondante qui peut affronter tout.
Quand l'eau pénètre enfin, dans toutes ses racines,
Qu'un fine rosée, légère sur ses branches,
Embellit son rameau, des pieds jusqu'à la cime,
Il sourit à la vie, ses bras heureux se penchent.
La racine nous porte et nous sommes greffés !
Avec reconnaissance, levons nos mains au ciel,
En silence et émus d'être régénérés,
Tirés de la poussière, vers l'infini soleil...Jeanine Cros, Lunel 2011
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Par jean-marc-andré le 18 Octobre 2011 à 15:31
Refrain :
Les hommes parlent de paix (bis)
Mais , ils ne la font jamais ! (bis)
1° couplet :
De tous temps, dans tous les pays
Des hommes meurent dans la nuit.
Le jour est là, c’est la tragédie,
On entend des cris d’agonie !
Refrain : les hommes parlent de paix...
2° couplet :
Pour de l’argent ou pour la puissance
Les fusils entrent dans la danse.
Des innocents sont au premier rang,
Ils vont bientôt perdre leur sang.
Refrain : les hommes parlent de paix...
3° couplet :
Des enfants, pleurant sur leur père,
Apprennent ce qu’est la misère.
Dans les rues, cherchant leur chemin
Ils pleurent sur leurs lendemains.
Refrain : les hommes parlent de paix.....
4° couplet :
Tant que tous les hommes vivront pour eux-mêmes,
Seront guidés par leurs passions,
Dans tous les pays, dans tous les foyers,
Jamais ne règnera la paix !
Refrain :
Aimez-vous les uns les autres,
Par Jésus-Christ, le Sauveur.
Jésus-Christ donne sa paix.
Elle demeure à jamais.
Jean-Marc AUSSET 1980
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Par jean-marc-andré le 18 Octobre 2011 à 15:25
CHANTE ALLELUIA, VIVE LA VIE !Refrain :
Chante alléluia , mon ami,
Chante alléluia, vive la vie !
La nuit s’éclaire, le soleil luit,
L’hiver s’efface, le printemps sourit .
1° couplet :
Regarde le ciel, l’horizon vermeil,
Pas un seul nuage n’annonce d’orage,
Et les hirondelles qui, à tire d’ailes,
Proclament aux vents la bonne nouvelle.
Refrain : chante alléluia, mon ami ..
2°couplet:
Regarde la terre qui, partout, s’éveille
Aux rayons dansants de l’astre brillant.
Les arbres en fête, redressent leurs têtes,
Le blé dans les champs se fait chatoyant.
Refrain : chante alléluia, mon ami...
3° couplet:
L’aveugle, étonné, n’en croit pas ses yeux,
Devant lui s’élance son ami boiteux,
A qui veut l’entendre, chantant à tue-tête,
Le muet proclame : « venez à la fête ! »
Refrain : Chante alléluia, mon ami...
4° couplet:
Laisse ta canne et ton grabat,
Jette ta sébile et cours vers ton roi.
Ses mains percées se tendent vers toi,
De ta misère, il sonne le glas !
Refrain : chante alléluia, mon ami...
5° couplet:
Il est la lumière qui t’éclairera,
Il est le chemin qui te conduira,
Il est la vérité qui t’affranchira,
La vie éternelle qui te comblera.
Refrain :
Chante alléluia, mon ami,
Chante alléluia, vive la vie.
La nuit s’éclaire, le soleil luit,
L’hiver s’efface, le printemps sourit.
Jean-Marc AUSSET Nantes 1980
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Par jean-marc-andré le 18 Octobre 2011 à 15:17
Le soleil se levait dans l’horizon brumeux,
Un semeur avançait à pas lents.
Courbé sous son fardeau mais la joie plein les yeux,
Vers son champ, il chemine en chantant.
Sème, semeur, ne t’arrête pas,
Dans la bonne terre, le grain ne meurt pas.
Le germe de la vie dans la graine, cachée,
Sortira de la nuit de ton sol labouré.
D’un geste mesuré, le semeur à l’ouvrage,
Répand autour de lui, au rythme de ses pas,
Dans le cœur des sillons, ouverts à ses passages,
La semence de vie qui demain éclora.
Sème, semeur, ne t’arrête pas,
Dans la bonne terre, le grain ne meurt pas.
Le germe de la vie dans la graine, cachée,
Sortira de la nuit de ton sol labouré.
Son geste généreux n’épargne aucun espace :
Le chemin, la rocaille et même les buissons ;
Mais, les oiseaux du ciel, le soleil et les ronces
Réduisent à néant la promesse de grâce.
Sème, semeur, ne t’arrête pas,
Dans la bonne terre, le grain ne meurt pas.
Le germe de la vie dans la graine, cachée,
Sortira de la nuit de ton sol labouré.
Comme le grain de blé, la Parole de vie
Dans le cœur des humains, par l’Esprit est semée,
Semence de pardon, d’amour, de vérité,
Manne offerte par grâce, lumière dans la nuit.
Sème, semeur, ne t’arrête pas,
Dans la bonne terre, le grain ne meurt pas.
Le germe de la vie dans la graine, cachée,
Sortira de la nuit de ton sol labouré.
Laisse ton cœur s’ouvrir au soc du Dieu d’amour,
Arracher les épines, enlever les cailloux,
Briser l’orgueil farouche et ses rêves trompeurs,
Pour que grandisse en toi la graine du bonheur.
Sème, semeur, ne t’arrête pas,
Dans la bonne terre, le grain ne meurt pas.
Le germe de la vie dans la graine, cachée,
Sortira de la nuit de ton sol labouré.
Jean-Marc AUSSET, Nantes 1980
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Par jean-marc-andré le 18 Octobre 2011 à 15:11
ESPOIR DE VIE DANS LES TENEBRES :Lorsque le soleil perce à travers les nuages
Dissipant la grisaille d’un jour morne et sans joie,
Tout s’éveille, prend vie et change de visage
Comme animé soudain par de magiques doigts.
Ainsi vaquait le monde à ses besognes vides,
Poursuivant ses chimères aux visages fuyants
Cherchant à disperser ses ténèbres morbides
Par les flashs éphémères de ses néons dansants.
Philosophes, penseurs, politiciens, artistes
Aux pourquois lancinants ont essayé en vain
D’apporter leur réponse, de tracer une piste
A ce monde assoiffé et qui se meurt de faim.
Seul le soleil de Dieu, dans cette taie épaisse
S’est frayé un chemin vers l’homme agonisant ;
Dans l’ombre de l’humain, le Fils de Dieu s’abaisse
Et d’un regard d’amour, ranime le mourant.
Au souffle de sa voix, l’âme humaine frémit,
Comme s’irise l’onde par le vent effleurée ;
Comme s’ouvre la fleur aux rayons de midi
La voici qui revit de se savoir aimée.
O, douceur de la grâce, parfum de vérité,
En Jésus, Fils de Dieu, vous vous êtes incarnées :
Pain qui nous vient des cieux, manne qui rassasie,
Vous seules avez touché nos âmes alanguies.
Jean-Marc AUSSET 1978
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Par jean-marc-andré le 18 Octobre 2011 à 14:56
LE JOUR OU NOS CHEMINS SE SONT CROISESLe Seigneur m’a placé, humblement sur ta voie
Où seul tu cheminais à l’écart de sa croix.
Répondant aux appels de ton âme angoissée,
Vers toi, Il envoya un pécheur pardonné.
Poussé par son amour, touché par ta détresse,
C’est souffrant avec toi, uni dans ta faiblesse,
Ne comptant que sur Dieu et son intervention,
Que j’apportai, ému, réponse à tes questions.
L’Esprit Saint, arrosant la semence jetée,
Fit germer dans ton cœur la fleur de vérité.
Soudain, comme un éclair qui déchire la nuit,
La lumière jaillit chassant l’ombre qui fuit.
Le ciel est en émoi, les anges applaudissent
Au miracle de vie qu’ils observent, émus,
Tandis que la nature semble offrir au novice
Ce qu’elle a de plus beau, signe de bienvenue.
Finies les nuits d’angoisse et d’interrogation,
Désormais, devant toi, s’offre la vision
Du chemin lumineux ouvert par ton Sauveur
Qui t’invite à le suivre, libre de toute peur.
Jean-Marc AUSSET Nantes, 1978
http://data0.eklablog.com/gospelvoice/mod_article13821606_1.jpg
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Par jean-marc-andré le 18 Octobre 2011 à 14:52
UNE RENCONTRE HORS NORME A NE PAS MANQUER1 ) Sur le parvis du temple, des Juifs étaient assis,
A l’écoute d’un maître, appelé Jésus-Christ.
D’un royaume nouveau, il les entretenait
Leur parlant de pardon, d’amour, de vérité.
Refrain :
Ecoute donc, ô homme, toi qui est tourmenté
Vers toi je suis venu , par ton Dieu, envoyé.
Sur les chemins de vie, je voudrais te guider
Afin que tu me suives vers un monde apaisé.
2 ) La foule est étonnée de tant d’autorité.
Quel est donc ce prophète qui clame avec clarté
Par sa vie, par ses actes, par son humilité
La venue d’un royaume où règnerait la paix ?
Refrain :
3 ) De son regard lucide, il lit au fond des cœurs.
Il démasque les vices et leurs charmes trompeurs.
Il confond l’hypocrite, il discerne le faux.
Il t’invite à le suivre vers un monde nouveau.
Refrain :
4 ) Si tu as faim et soif d’amour, de vérité,
Si ton cœur est avide de paix, de pureté,
Alors, ne tarde pas, tends les bras vers celui
Qui , par amour pour toi, sacrifia sa vie.
Refrain :
Ecoute donc, ô homme, toi qui est tourmenté
Vers toi je suis venu , par ton Dieu, envoyé.
Sur les chemins de vie, je voudrais te guider
Afin que tu me suives vers un monde apaisé
JM Ausset 1979
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Par jean-marc-andré le 18 Octobre 2011 à 14:38
LE TEMPS S’ENFUIT :
Ami, lève les yeux,
Regarde les nuages
Lents et majestueux,
Venus je ne sais d’où
Allant je ne sais où,
Traversant les espaces
Ils égrènent le temps
De leurs chapelets blancs.
Ecoute ces sons clairs
Bondissant d’arbre en arbre,
Trilles incomparables,
Gazouillis sans pareils,
Charmes du rossignol
Qui découpent le temps
En arabesques folles.
Ami, plonge ta main
Et s’enfuit sous tes doigts.
Chacune de ses gouttes
Est comme une seconde,
Elle court dans le temps
Comme elle court dans l’onde
Et tu ne peux la retenir !
Ami, le temps s’enfuit !
Le nuage est déjà parti !
Les chants d’oiseau se sont éteints !
Le fleuve a gagné la mer !
Ainsi en est-il de ta vie.
Tel un souffle, elle passe
Et rien ne peut la retenir.
Mon ami, prends donc le temps d’écouter et de faire tiennes ces paroles du Christ :
« Je suis le Chemin, la Vérité, la Vie. » Evangile de Jean ch 14 v 5.
« En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi, a la vie éternelle . »
Evangile de Jean ch 6 v 47.
Si tu crois cela, alors tu es heureux !
Jean-Marc AUSSET Novembre 1978
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Par jean-marc-andré le 18 Octobre 2011 à 14:30
1 ) Regarde autour de toi, n’es-tu pas effrayé ?
Partout on se massacre pour de grandes idées .
On tue, on viole, on pille, on vole, on se déchire !
Le mal a pénétré jusqu’à l’air qu’on respire .
Refrain :
Ami, je vous demande, à vous qui m’écoutez,
Où court ainsi le monde, où va l’humanité ?
Dans quel obscur abîme, courent-ils se jeter ?
Ami, veux-tu les suivre dans leur course effrénée ?
2 ) Regarde près de toi, ouvre bien grand les yeux,
N’y vois-tu pas la haine et son cortège hideux ?
Jalousie, convoitise, orgueil et arrogance,
Injustice et misère ou bien indifférence !
Refrain :
3 ) Ami, regarde en toi avec honnêteté.
Finis les faux-fuyants et les chassés-croisés ;
Tu n’es pas différent des hommes de ta race,
Par des chemins divers, tu suis la même trace .
Refrain :
4 ) Ami, je vous demande, à vous qui m’écoutez,
Où court ainsi le monde, où va l’humanité ?
Dans quel obscur abîme courent-ils se jeter ?
Ami, veux-tu les suivre dans leur course effrénée ?
Jean-Marc AUSSET Nantes 1978
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Par jean-marc-andré le 18 Octobre 2011 à 14:22
1 ) Lorsque tu es dans la peine, que dans ton cœur il fait noir,
Que ton âme est dans les chaînes, les chaînes du désespoir,
Que tu cries dans la nuit, que tu cognes sur les murs ..
Refrain :
Il y a quelqu’un qui entend ta voix,
Il y a quelqu’un qui te tends les bras,
Quelqu’un qui t’aime et connaît tes pourquoi,
Qui te comprend et se tient près de toi.
2 ) Quand tu frappes chez des amis, à midi ou à minuit,
Tu comptes sur leur soutien car tu crois qu’ils t’aiment bien ;
Mais leurs portes sont fermées, en vain tu as appelé !
Refrain:
Il y a quelqu’un qui entend ta voix,
Il y a quelqu’un qui te tends les bras,
Quelqu’un qui t’aime et connaît tes pourquoi,
Qui te comprend et se tient près de toi.
3 ) Il a porté tes blessures, ton fardeau, tes meurtrissures,
Lui aussi fut rejeté et sur une croix, cloué,
Pour qu’un jour, tu puisses dire, j’ai trouvé la joie de vivre !
Refrain :
Va vers Jésus qui entend ta voix,
Va vers Jésus qui te tend les bras,
Va, car Il t’aime et connaît tes pourquoi.
Il te comprend et se tient près de toi.
Jean-Marc AUSSET Nantes 1979
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Par jean-marc-andré le 18 Octobre 2011 à 14:12
SUR LES CHEMINS DE LA VIE :
Sur les chemins de la vie
Qui s’ouvrent devant mes pas,
J’ai besoin d’un sûr ami
Qui ne m’abandonne pas .
Refrain :
Avec Jésus, pas de doute,
Il sera toujours sur ma route,
Sur Lui je pourrai compter
Jusque dans l’éternité ( ter )
2° couplet :
Sur la croix, au mont Golgotha.
A ma place Il fut cloué
Pour que je vive à jamais.
Refrain :
3° couplet :
Désormais, je le chanterai,
Je proclamerai ses bienfaits,
Car Jésus-Christ est mon Sauveur,
En Lui j’ai trouvé le bonheur.
Refrain :
Il sera toujours sur ma route,
Sur Lui je pourrai compter
Jusque dans l’éternité.
Jean-Marc AUSSET 1980
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Par jean-marc-andré le 18 Octobre 2011 à 12:17
1) Au jardin de l'humanité
Les fleurs du mal ont poussé,
Dans un sol noir, elles ont germé,
semées par un faux jardinier.
Refrain 1 :
Non , n'allez pas cueillir ces fleurs,
Ne respirez pas leur odeur,
Ne regardez pas leurs couleurs,
Elles distillent le malheur !
2) Au jardin de l’humanité
Croissent des fleurs empoisonnées,
Fleurs de passion et fleurs de mort
Fleurs artifice, fleurs décor.
Refrain 1 :
N’allez donc pas cueillir ces fleurs,
Ne respirez pas leurs odeurs,
Ne regardez pas leurs couleurs,
Elles distillent le malheur.
3) Aux collines de Galilée,
Une fleur a tout embaumé.
Parfum d’amour, de pureté,
Semée par le grand jardinier.
Refrain 2 :
Venez tous cueillir cette fleur
Accrochez-la sur votre coeur.
Imprégnez-vous de son odeur,
Car c'est la fleur du bonheur!
4) Au jardin des Oliviers,
Cette fleur fut foulée aux pieds,
Ses pétales furent froissés,
Son dernier parfum exhalé.
Refrain 2 :
5 ) Au jardin de l’humanité
Le mal n’a pas pu l’étouffer.
La fleur d’amour a repoussé
Au printemps de l’éternité.
Refrain 2 :
Venez tous cueillir cette fleur !
Accrochez-la sur votre cœur !
Imprégnez-vous de son odeur
Car, c’est la fleur du bonheur .
Jean-Marc AUSSET 1980
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Par jean-marc-andré le 18 Octobre 2011 à 11:44
TRAJECTOIRE DE VIE …
1) Dans ma misère, j’errais sur cette terre
Cherchant partout le bonheur comme un fou :
Dans la peinture, le sport et la voiture ,
J’essayais de trouver un peu de liberté .
Ref : Je m’suis donné à fond,
Livré à corps perdu,
Pour trouver le bonheur
J’y ai mis tout mon cœur !
2) Avec ma voiture, j’partais à l’aventure,
Cherchant dans la vitesse à cacher ma faiblesse ;
J’écoutais d’la musique, celle qui rend hystérique,
Croyant trouver la clé de ce bonheur caché .
Ref : Je m’suis donné à fond,
Livré à corps perdu,
Pour trouver le bonheur
J’y ai mis tout mon cœur
3) Un jour, j’ai rencontré un homme qu’avait tout fait
Qui me dit : mon garçon, dans la vie, y’a du bon.
Quel que soit le moyen, qu’il soit mal, qu’il soit bien,
Fais tout pour t’en saisir, le bonheur, c’est jouir !
Ref : Je m’suis donné à fond,
Livré à corps perdu,
Pour trouver le bonheur
J’y ai mis tout mon cœur
4) Alors, j’ai tout laissé, les objets de mon passé,
le sport et la musique, l’auto , la politique ;
N’ayant pu y trouver rien qui puisse étancher
Ma soif de vrai bonheur, j’m’en vais chercher ailleurs !
Ref : Je m’suis donné à fond,
Livré à corps perdu,
Pour trouver le bonheur
J’y ai mis tout mon cœur .
5) Ailleurs, c’était pareil, les filles, la bouteille !
Les films pornographiques, la drogue et puis les flics !
J’étais si jeune pourtant, j’avais tout essayé,
Mordant à pleines dents ce bonheur qui fuyait !
Ref : Mais, j’ai touché le fond,
Et puis, j’ai tout perdu ,
Mes amis, ma santé, ma joie : je me sens nu !
6) Ecoeuré par moi-même, par les autres aussi,
Puis, par tout ce système qui n’est qu’hypocrisie,
L’idée me vint alors qu’il fallait que j’arrête
Cette vie de détresse ici-bas par la mort .
Ref : Mais, mon cœur a crié,
Ô Dieu, si tu es là,
Avant de tout quitter,
Révèle-toi à moi !
7) Soudain une parole, lue dans un très vieux livre
jaillit dans mon esprit, illuminant mon cœur,
« car Dieu t’a tant aimé qu’il a donné son Fils,
Afin que par sa mort, tu puisses être sauvé « !
Ref : Sauvé, je suis sauvé !
Jésus-Christ est la vie !
La mort a son vainqueur !
J’ai trouvé le bonheur !
JM Ausset 1973 . Chant non autobiographique mais inspiré par des fais réels.
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Par jean-marc-andré le 17 Octobre 2011 à 19:22
HYMNE A JESUS-CHRIST : de la crèche à la croix
1) Une nuit, à Béthléem, naquit un humble enfant
dont le nom est adorable, c’est le fils du Tout-Puissant.
Refrain : Jésus, Jésus, tu es notre Seigneur,
Ton nom apporte aux hommes le bonheur.
2) Dans le temple à Jérusalem, à 12 ans, Jésus s’entretint
avec les docteurs stupéfaits de voir si grande autorité .
Refrain : Jésus, Jésus, tu es le fils de Dieu,
Car ton nom seul est la porte des cieux .
3) Jean-Baptiste, l’homme du désert, baptisa Jésus au Jourdain,
Et l’on vit du ciel entrouvert descendre un messager divin.
Refrain : Jésus, Jésus, tu es le Dieu vivant,
par ton esprit, tu aides tes enfants.
4) Au désert, conduit par l’Esprit, 40 jours il résista ;
Tout ce que Satan lui offrit, le fils de Dieu le refusa.
Refrain : Jésus, Jésus résiste au tentateur,
Jésus, Jésus pour sauver le pécheur.
5) Jésus eut un court ministère qu’il accomplit avec amour,
Il n’avait rien sur cette terre, vivant pour les autres toujours.
Refrain : Jésus, Jésus, ton nom saint est amour,
Jésus, Jésus, tu veux nous sauver tous.
6) Accomplissant des miracles, Jésus soulageait bien des maux,
Mais , méprisant ses oracles, l’homme lui tourna le dos.
Refrain : Jésus, Jésus , tu fus humilié
Jésus, Jésus, par ceux que tu aimais.
7) A Golgotha, mont du Calvaire, sur la croix, le Seigneur fut cloué,
C’est là qu’il but la coupe amère et qu’il porta notre péché.
Refrain : Jésus, Jésus, tu fus crucifié !
Jésus, Jésus, toi qui a tout donné !
8) Mais, victoire , Il est ressuscité, du tombeau la pierre est roulée,
et près du Père il est monté, celui qui pour nous s’est donné !
Refrain : Jésus, Jésus, nous bénissons ton nom.
Jésus, Jésus, quel magnifique don !
JMA Nov 1978
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